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ussion. Nous voulons des moyens conformes à notre
fin
et nous voulons cette fin parce que la liberté est à nos yeux la cond
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oyens conformes à notre fin et nous voulons cette
fin
parce que la liberté est à nos yeux la condition vitale de toute cult
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ommune, action conduite à l’étranger, et dont les
fins
dernières leur importaient bien moins que l’expérience elle-même, moi
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restent obscurs sur un point décisif : celui des
fins
dernières que poursuivait l’auteur quand il vivait ce qu’il raconte.
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4 décrit l’état d’esprit du héros de 30 ans, à la
fin
de ses campagnes d’Arabie, avant le grand échec de ses espoirs à la C
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s deux sont détachés de la foi, et peut-être à la
fin
de la foi en eux-mêmes ou dans le rôle qu’ils peuvent encore jouer pa
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n.) S’approche le moment de la retraite forcée, —
fin
de son engagement pour l’un, de la guerre pour l’autre. Et survient l
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t être dissociés de ceux de l’Europe. Ainsi prend
fin
cet entretien dont nous avons essayé de rendre compte aussi fidèlemen
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oyens disposons-nous, qui soient ordonnés à cette
fin
? Ce sont moyens de poésie, c’est-à-dire d’âme. « La faculté principa
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Des conciles à la bombe atomique ou la
fin
dans le commencement (janvier 1953)q r Les fins d’une civilisation
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fin dans le commencement (janvier 1953)q r Les
fins
d’une civilisation ne sont pas visibles à son terme, et rien ne se pa
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t, c’est justement qu’elle a perdu le sens de ses
fins
ou qu’elle renonce à les saisir. De même, les origines d’une civilisa
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checs, c’est-à-dire dans les moments mêmes où ses
fins
deviennent conscientes et manifestes. « Dans ma fin est mon commencem
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s deviennent conscientes et manifestes. « Dans ma
fin
est mon commencement », écrit T. S. Eliot, d’après saint Jean de la C
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ntinomique, nous apparaissent dans le détail très
fin
de toutes nos sciences, de la logique mathématique à la médecine et d
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enis de, « Des conciles à la bombe atomique ou la
fin
dans le commencement », The Alliance Review, Alliance, janvier 1953,
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dans la mesure où le christianisme a signifié la
fin
des religions et des magies, nées de la peur, qu’il a permis le dével
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e la neutralité soit sans cesse reposée depuis le
fin
de la guerre, et menace de devenir un sujet de discorde entre les Con
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tif, comme d’ailleurs beaucoup de Suisses. Dès la
fin
de mes études, j’ai longuement habité Paris et la France, et c’est pe
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1938, j’ai publié mon Journal d’Allemagne , à la
fin
duquel je dénonçais Hitler comme antieuropéen parce qu’antifédéralist
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nale de mon européanisme. Repartons de 1940. À la
fin
de cette année-là, j’ai été envoyé aux États-Unis pour une série de c
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Le thème de la mort de Dieu a constitué depuis la
fin
de la guerre la hantise d’une partie assez importante de la littératu
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par l’Europe, mais peut bien être détourné de ses
fins
par la Russie. Ils voient encore notre colonialisme. Ne sauront-ils p
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M. Mendès France à le ratifier — ou non — vers la
fin
de ce mois. C’est dire que le lecteur moyen a bien le droit de demand
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… Chacun a son principe auquel il tend comme à sa
fin
. Une fois cette fin atteinte, il n’a plus rien à faire dans le monde.
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ipe auquel il tend comme à sa fin. Une fois cette
fin
atteinte, il n’a plus rien à faire dans le monde. » Et encore : « À c
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it de régner absolument sur leurs sujets. À cette
fin
, chacun prétendra qu’il incarne « le plus haut concept de l’esprit ».
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ple, s’écria solennellement que la CED était « la
fin
de la France », parce que la CED prétendait limiter la souveraineté d
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, on provoque une opposition passionnelle qui met
fin
à tout dialogue raisonnable. La seconde raison, c’est que les souvera
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ever deux faits : — Le rejet de la CED ne met pas
fin
à la construction européenne, comme on l’a répété bien à tort : il mo
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. 86. Webster : Le Démon blanc. 87. Huizinga : La
Fin
du Moyen Âge. Déjà cités (I) Lewis Carroll : Alice au pays des
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festivals de musique a cinq ans (1956)ap À la
fin
de 1951, répondant à une invitation lancée par le Centre européen de
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core dans sa petite cuisine, en train de peler de
fines
patates pour un dîner improvisé. Je rentrais d’Amérique, je voulais t
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— car les plus belles histoires du monde ont une
fin
— la fatale faiblesse de notre État : cette habitude de nous sentir “