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quelque chose, et l’absence de rapports entre ces
gens
me paraîtrait plus étonnante encore que n’importe quelle hypothèse, «
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ux, mais là n’entrent ni vilains ni malotrus, ces
gens
-là sont logés dans le faubourg, lequel occupe plus de la moitié du mo
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sure où il cherche à faire prendre conscience aux
gens
des motifs de leurs actes. Nous en revenons à mon but initial : dénon
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ur fût moins fatal et qu’on choisît davantage les
gens
qu’on aime : par volonté. Il faut unir Éros et Agapè. Et plus prosaïq
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rama. Les maisons sages, un peu scolaires, et les
gens
en gris vert défilent, des visages s’immobilisent et plus rien n’est
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art, et Madame de Staël comme personne. « Pays de
gens
moyens, oui, disait Lucien Febvre, mais quand ils réussissent à se dé
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rit de groupe et sociétés. Mais petits groupes de
gens
qui ne se connaissent que trop, et sociétés solides si leur but est r
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pour la commodité de l’exposé. De mon temps, les
gens
bien voyageaient en troisième, les gens chics parfois en seconde, et
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emps, les gens bien voyageaient en troisième, les
gens
chics parfois en seconde, et je ne savais rien des premières sinon qu
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troisième, on retrouvait, comme je l’ai dit, les
gens
bien, gracieusement mêlés au peuple souverain de la région, dans cett
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ager de cette classe n’est pas curieux, comme les
gens
de troisième, des menus incidents du trajet. On sent bien qu’il a l’h
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ides. C’était vrai, les enfants voient juste. Ces
gens
traversent le pays comme s’il n’existait pas, ils vont plus loin. Con