1 Quand on nous dit : « Qu’avez-vous à opposer à l’ idéologie stalinienne, à cette grande espérance des prolétaires, à cette religi

2 éfendre l’Europe qu’en opposant à ses ennemis une idéologie plus puissante que la leur, mais hélas, vous n’avez aucun passé ! »,

3 i masque les faits, nous n’avons pas besoin d’une idéologie , car nous avons nos libertés. Et ce n’est pas notre passé que nous dé

4 . C’est qu’ils se refusent aux entraînements de l’ idéologie ou du lyrisme, s’appliquent aux descriptions exactes, et se meuvent e

5 machine !) Mais d’autre part, son aversion pour l’ idéologie , son refus de l’impérialisme sous toutes ses formes, surtout morales,

6 ous la trouvons à Valmy, c’est donc un idéal, une idéologie , le principe d’une nouvelle communauté non de naissance mais d’avenir

7 nce mais d’avenir et de volonté. Toutefois, cette idéologie n’est pas le fait du peuple tout entier, mais d’un parti ; et ce part

8 , et de transformer la justice en instrument de l’ idéologie , le tout au nom de la nation. Il confond dans une même répression la

9 mpérialisme : et voici la France napoléonienne. L’ idéologie de la nation est par essence conquérante : elle veut apporter la Libe

10 re, loin de faire triompher dans toute l’Europe l’ idéologie unitaire des jacobins, va susciter des nationalismes rivaux. Et c’est