1
ptions de l’amour, de la révolution, des libertés
publiques
ou morales, pour ne citer que ces trois grands exemples, sont à peu p
2
aison de campagne, ou d’accepter quelque fonction
publique
, ils reprennent subitement du service. Ils se confondent volontaireme
3
l s’impose. Le dictateur est le parasite des maux
publics
. Lawrence n’a jamais rien demandé que de lui-même. Son pouvoir sur au
4
s de l’Église, qui servaient de règles aux hommes
publics
: princes, magistrats, légistes. À un stade nouveau, l’éducation du p
5
ar les textes écrits n’avaient pas de circulation
publique
. On passait donc ainsi du foyer de culture à la masse de la populati
6
leur collaboration. Belle occasion aussi, pour le
public
, de prendre conscience de ce fait que l’art n’est pas le produit d’un
7
és et journalistes européens ont pris position en
public
ou dans le secret de leur cœur, mais que presque personne n’a lu ! On
8
mière seulement sera visible et sensible au grand
public
. Les troupes des six pays porteront le même uniforme. (Mais n’est-ce
9
es deux dernières guerres.) Enfin, les méthodes d’
instruction
et la production des armements seront standardisées. (D’où un considé
10
et, cet échec a résulté du fait qu’on laissait le
public
dans l’ignorance de la vraie situation européenne, des vrais buts du
11
pratiques et certaines confusions des valeurs. Le
public
, sollicité de tous côtés, ne sait plus où aller et voudrait qu’on l’o
12
se en Allemagne, en France ou en Italie, offre au
public
un guide unique en son genre, parce qu’il permet à l’amateur de s’ori
13
», les troubadours, et ses « croyants », le grand
public
cultivé ou non, qui écoute les troubadours et fait leur gloire mondai
14
pour assurer le succès de l’ouvrage dans un large
public
pressé, comme il arrive.) 13. Comme Amor s’oppose à Roma. Les héréti