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progrès, aujourd’hui, n’est pas le fait du génie
isolé
, mais de l’effort commun. Pour moi, c’est la multitude des rudes chau
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ent des autres. Le cœur ni le poumon ne vivraient
isolés
, et leur santé dépend d’une bonne circulation. Enfin, rien n’est plus
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phase de réalisation. Mais ne croyez-vous pas, qu’
isolés
de la mer et de ceux qui furent toujours à travers l’histoire nos gra
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mment oser sincèrement prétendre que nous serions
isolés
d’eux, même sur le plan économique ? Et sa comparaison d’un Sonderbun