1
vilisation peut mourir demain et que ce n’est pas
là
une phrase1. Nous sommes ici parce que nous savons tous que le salut
2
mieux en mieux les libertés de la personne. C’est
là
qu’il faut chercher les vrais secrets de notre puissance, même matéri
3
mal définis : on pourrait s’arranger sur ce plan-
là
, peut-être. Les passions nationalistes ne sont plus que des survivanc
4
savent plus bien répondre à ces questions. C’est
là
que gît la force principale de l’autre camp. Quand on nous dit : « Qu
5
utre « mystique millénaire », mais déjà morte : —
Là
où l’homme veut être total, l’État ne sera jamais totalitaire. c.
6
unauté à rejoindre où à recréer dans l’action, et
là
seulement les mots pourront reprendre un sens, et le langage un pouvo
7
il reste le maître. Son héroïsme le plus réel est
là
: s’il faut que quelqu’un paye, que ce soit lui, aux dépens de son pr
8
urd’hui. Je hais les meubles. » Qu’on ne voie pas
là
une dérobade devant le grand choix politique de ce siècle : démocrati
9
indre souci d’être un exemple ou d’enseigner : de
là
vient sa sincérité, à travers tant de déguisements. On ne peut s’empê
10
e. Rien ne tient, à l’épreuve, qui n’ait commencé
là
. 3. Letters, p. 412. 4. T. E. Lawrence, par Charles Edmonde.
11
és ? Comment faire renaître « L’Europe-Culture ».
Là
, se pose le vrai problème de vos foyers de culture. Un foyer constitu
12
eine à personne, mais les maisons de culture sont
là
pour « bâtir l’Europe », non pour organiser les tournois de ping-pong
13
r organiser les tournois de ping-pong. Elles sont
là
pour des activités récréatives, bien entendu, mais surtout pour des a
14
ataille de Villmergen et du Sonderbund… À ce taux-
là
, la France et l’Allemagne en ont également. Des traditions communes ?
15
ôt de sa manière de dire « je » ou « moi ». C’est
là
une notion essentiellement européenne, et que nous avons eu tort de t
16
nisme. Repartons de 1940. À la fin de cette année-
là
, j’ai été envoyé aux États-Unis pour une série de conférences. De là,
17
aux États-Unis pour une série de conférences. De
là
, j’ai été en Argentine et, à mon retour à New York, en novembre 1941,
18
concerne, Dieu n’existe plus », car il n’y aurait
là
rien de nouveau : on retomberait au spleen métaphysique du romantisme
19
au profit de quelque dictature collectiviste, car
là
seulement il croira retrouver « l’engagement » que sa doctrine prônai
20
nt la victoire. Remarquez que ce cri, à ce moment-
là
, ne signifie point : « Vive la France ! » — pas davantage que le cri
21
te de la société et de la communauté des peuples.
Là
encore, la cause est jugée. L’Histoire, la science et la théologie, l
22
ipe, et qui se trompent radicalement, sont encore
là
, sont même, en fait, plus nombreux que nous en Europe. Il nous faut f
23
avons bien comment vont réagir les nationalistes.
Là
encore, ils vont soulever une controverse purement verbale. Ils vont
24
leur qualité d’adversaires réels de l’union. Mais
là
encore, je demande que les fédéralistes refusent de se battre pour de
25
ans adopter les procédés fascistes. Le risque est
là
, bien sûr, mais ce n’est qu’un risque. Et pourtant, à certains, il ap
26
our faire face, il fallait d’abord croire. Ce fut
là
son mérite historique. Et si les faits lui ont donné tort, si notre S
27
cile de tourner les obstacles que de les attaquer
là
où ils sont : dans les routines de l’esprit nationaliste, autant et p
28
« Je vivais en ce temps-
là
… » (janvier 1956)ag Je vivais en ce temps-là, terminant mes études
29
s-là… » (janvier 1956)ag Je vivais en ce temps-
là
, terminant mes études, dans la petite ville de Neuchâtel, et nous éti
30
nnaissions la légende. Apollinaire avait discouru
là
, devant le jeune André Breton immobile et muet d’admiration, comme tr
31
Bon pour ceux qui n’y « croyaient » pas, d’entrer
là
sans façon ni vergogne pour acheter banalement un livre : alors que l
32
ag. Rougemont Denis de, « ‟Je vivais en ce temps-
là
…” », Mercure de France, Paris, janvier 1956, p. 50-51.
33
es et troubadours. Je me risquais à dire : il y a
là
quelque chose, et l’absence de rapports entre ces gens me paraîtrait
34
t de l’Italie jusqu’à l’Espagne, pour rayonner de
là
sur toute l’Europe. Dans le même temps, d’autres mouvements hétérodox
35
er dans le courant puissant de l’orthodoxie14. De
là
les tentatives multipliées, dès le début du xiie siècle, pour instit
36
ation psychique et éthique de l’homme en ce temps-
là
, nous constatons d’abord qu’il se trouve impliqué bon gré mal gré dan
37
er. On y accède par quatre degrés très doux, mais
là
n’entrent ni vilains ni malotrus, ces gens-là sont logés dans le faub
38
ais là n’entrent ni vilains ni malotrus, ces gens-
là
sont logés dans le faubourg, lequel occupe plus de la moitié du monde
39
fer. Noble Amour a promis qu’il en serait ainsi,
là
sera la lamentation des désespérés. Ah ! noble Amour, source de bonté
40
par un médecin de Chosroès Ier, roi de Perse. De
là
, on peut suivre son progrès rapide vers l’Europe à travers une série
41
t l’amour de la mort sont-ils apparus à ce moment-
là
? Il faut relier l’amour courtois à l’hérésie néo-manichéenne. Ma thè
42
s troisièmes : ils ont l’air trop contents d’être
là
, on les refoule. J’ai cru remarquer à ce propos que le peuple suisse
43
ssai d’unification jacobine entrepris à ce moment-
là
sous le nom de « République helvétique une et indivisible » échoua ra
44
’on veut faire l’Europe ? Est-il vrai qu’il y ait
là
un obstacle à l’Union ? Ces souverainetés ont-elles quelques réalité