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u fils contre le père (obstacle à l’amour pour la
mère
) et par le sentiment de culpabilité qui en résulte. Le poids de l’aut
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social et moral ; le poids de l’interdit lié à la
mère
(donc au principe féminin) inhibe l’amour : tout ce qui touche à la f
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rtement personnifiée : c’est la Déesse, Épouse et
Mère
… Le dynamisme créateur revient à la Déesse… Le culte se concentre aut
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elle-même une chose sacrée, une incarnation de la
mère
. L’apothéose religieuse de la femme est commune d’ailleurs à tous les
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nte synthétise toute la nature féminine, elle est
mère
, sœur, épouse, fille… elle est le chemin du salut »20. Ainsi le tantr
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Féminin de la çatki, le culte de la Femme, de la
Mère
, de la Vierge. Il participe de cette épiphanie de l’Anima, qui figure