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nière la propagande pour vacciner contre elle les
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, qu’elle vise d’abord, et les élites aussi qui ne sont pas moins cont
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Lawrence ? » Les dictateurs sont les héros de la
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, qui les produit dans sa panique devant une liberté sans contenu. Il
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. On passait donc ainsi du foyer de culture à la
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de la population par une série de maillons successifs que je vous rap
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re, la revue, le journal, elle est transmise à la
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et ces moyens mêmes de diffusion la rendent abstraite. Elle se heurte
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ure, la substance de la culture est ignorée de la
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des populations, comme l’est le sens de l’Europe. Pourtant, cette cul
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tion sans âme, bureaucratie, incompréhensible aux
masses
, qui prépare pour l’avenir une sorte d’uniformité du cadre de la vie
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s, des livres d’économie politique ou le sort des
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, l’énergie nucléaire non seulement n’eût jamais été visible ou sensib
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s-Unis déséquilibraient l’Alliance atlantique. La
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de l’URSS équilibrerait alors l’Alliance eurasiatique, cela saute aux
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sans Dieu, et réclamant non seulement la mort en
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mais la totalité de la vie des hommes. Voilà le grand dilemme de notr
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nale. Le nationalisme a réussi à faire croire aux
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et aux élites modernes que l’indépendance nationale est la suprême va
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roductrice de mauvaise conscience) dans la grande
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d’une société partagée non seulement entre la chair et l’esprit, mais
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sent-ils, de voir leur patrie « se perdre dans la
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informe d’une Europe unie ». Le second argument est dû à M. Cotsarida
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é à leur gestion. Il importe d’expliquer cela aux
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, car ainsi sera dissipée la crainte que suscite la perte de la souver