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érale. Dans tous ses livres de voyages, d’analyse
morale
ou d’histoire — mais nulle part mieux que dans L’Esprit de Genève. Je
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aut. Si divers que nous les jugions par la valeur
morale
ou littéraire, par l’importance aussi de leur rôle historique et la s
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irile poussée jusqu’aux extrêmes, dans la rigueur
morale
et les rigueurs physiques. Mais cédant à l’exigence extrême éveillée
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en général dans une psychologie qui déconcerte la
morale
classique et son langage ; cependant ils veulent être simples et n’em
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oblème est un peu différent. Sans aucun doute, la
morale
qu’il professe, au terme de son expérience de douze années dans l’avi
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périence de douze années dans l’aviation, est une
morale
collectiviste. (L’effort commun qui porte le progrès ; n’être qu’un r
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e hâtive, traduisent une attitude mûrie. C’est la
morale
du Château de Kafka, la ligne de repli (devant les problèmes métaphys
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encore que politique : toute personne physique ou
morale
qui s’occupe de l’Europe, en Suisse, se voit automatiquement « mise à
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t nécessairement qu’aux yeux de Sartre, la valeur
morale
suprême est la responsabilité, et que cette valeur morale est plus im
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uprême est la responsabilité, et que cette valeur
morale
est plus importante que tout, puisqu’en son nom l’on peut trancher un
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e en pâtirait. Nous sommes donc en présence d’une
morale
fanatique, c’est-à-dire d’une morale prête à nier telle ou telle réal
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ésence d’une morale fanatique, c’est-à-dire d’une
morale
prête à nier telle ou telle réalité8, pour peu que celle-ci fasse obs
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plus que se nier lui-même s’il veut rejoindre la
morale
. Il se niera donc au profit de quelque dictature collectiviste, car l
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pidement périr par asphyxie à la fois physique et
morale
. Marchés perdus, positions atlantiques perdues, prestige perdu : par
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t le culte du Soldat inconnu. Pour la piété et la
morale
nouvelle, les poètes populaires et l’instruction publique obligatoire
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e pour l’Occident moderne, et pour notre conduite
morale
et religieuse. Je vais donc poser quelques faits, comme un piège. J’é
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rites » précis, la rhétorique des troubadours, sa
morale
de l’hommage et du service, sa « théologie » et ses disputes théologi
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les troubadours et par les croyants inquiets à la
morale
des Parfaits. Mais enfin, dit le sceptique d’aujourd’hui, que peut bi
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ent expliquer le succès si rapide d’une prétendue
morale
à ce point ambiguë, dans un Languedoc, une Italie du Nord, une German
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re, mais encore et surtout, y est méprisée par la
morale
courante comme une maladie frénétique. Il y a un bouleversement au xi