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» de saint Anselme. Kassner gravite autour de ce
mystère
, l’approche par le moyen de paraboles, de questions, de comparaisons.
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’imagination, irrésistiblement, s’oriente vers le
mystère
crucial. S’agirait-il d’une théologie ? Certainement non. Kassner veu
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t Larbaud, peut-être même parfois avec l’homme du
mystère
dont l’improbable nom venait de s’inscrire au fronton d’un considérab
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Jaspers, « la question ne s’arrête plus devant le
mystère
et perd stupidement son existence dans la réponse ». Je voudrais au c
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à découvrir et adopter le christianisme, dont les
mystères
lui sont communiqués par le « bonhomme » Barlaam. La version qui nous