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eprésente, en effet, que 5 % des terres du globe.
Ni
son étendue, ni le nombre de ses habitants, ni ses richesses naturell
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fet, que 5 % des terres du globe. Ni son étendue,
ni
le nombre de ses habitants, ni ses richesses naturelles ne la destina
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e. Ni son étendue, ni le nombre de ses habitants,
ni
ses richesses naturelles ne la destinaient fatalement au rôle qu’elle
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r un seul organe au détriment des autres. Le cœur
ni
le poumon ne vivraient isolés, et leur santé dépend d’une bonne circu
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internationale, universelle et non pas nationale
ni
régionale. Elle suppose des échanges multiples entre les classes soci
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ciers ne seraient pas des professeurs d’éloquence
ni
des hommes politiques, mais des écrivains, des explorateurs, des ciné
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que dans un foyer la maison seule ne compte pas,
ni
la mystique locale, c’est la culture qui doit être le principal locat
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fin la Suisse, n’aient rien ajouté à ces gloires,
ni
que les Six aient décidé de vivre désormais dans un vase clos. La « P
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ure, foyer de toute la civilisation occidentale :
ni
dans le temps ni dans l’espace on ne saurait la délimiter. Mais il y
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te la civilisation occidentale : ni dans le temps
ni
dans l’espace on ne saurait la délimiter. Mais il y a plus dans ce ca
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es, celle de l’Europe ne saurait être interprétée
ni
définie par un ensemble de mesures sacrées, encore moins par quelque
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aturel (ou diabolique) serait un jour Hiroshima ;
ni
que le dogme de la Trinité — trois fonctions personnelles en un seul
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et de la discussion avant le vote populaire. Mais
ni
l’une ni l’autre de ces conditions n’est présente. Si nous voulions a
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discussion avant le vote populaire. Mais ni l’une
ni
l’autre de ces conditions n’est présente. Si nous voulions aujourd’hu
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u d’Athènes à Stockholm sans souci de « devises »
ni
de passeport : la carte de visite suffisait. Mais aujourd’hui ! Barri
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s pour démontrer l’unité foncière de nos peuples.
Ni
la musique ni la peinture, créations typiques de l’Europe, n’ont jama
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er l’unité foncière de nos peuples. Ni la musique
ni
la peinture, créations typiques de l’Europe, n’ont jamais été nationa
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vont se conduire comme des « individus » sans foi
ni
loi, au détriment de la grande communauté de civilisation qu’était l’
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ne correspond historiquement et géographiquement
ni
à la Patrie, ni à la Nation, ni à l’État. Ces évidences accablantes n
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istoriquement et géographiquement ni à la Patrie,
ni
à la Nation, ni à l’État. Ces évidences accablantes n’empêchent pas l
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géographiquement ni à la Patrie, ni à la Nation,
ni
à l’État. Ces évidences accablantes n’empêchent pas le nationaliste m
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t pas en tant qu’Italien que Raphaël m’intéresse,
ni
Shakespeare en tant qu’Anglais. Et je ne suis pas du tout sûr qu’il f
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général les plus mauvais. Ce n’est pas Mallarmé,
ni
Renoir, c’est Déroulède et Detaille qui représentent valablement la T
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mplaire : je n’en connais pas de plus « suisse »,
ni
par là même de plus fécondes à méditer par les constructeurs de l’Eur
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qui n’y « croyaient » pas, d’entrer là sans façon
ni
vergogne pour acheter banalement un livre : alors que l’on risquait d
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ns la chasteté, ainsi feinte, une habitude réelle
ni
un reflet des mœurs », mais seulement « un hommage ‟religieux” (et fo
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de par quatre degrés très doux, mais là n’entrent
ni
vilains ni malotrus, ces gens-là sont logés dans le faubourg, lequel
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re degrés très doux, mais là n’entrent ni vilains
ni
malotrus, ces gens-là sont logés dans le faubourg, lequel occupe plus
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visages s’immobilisent et plus rien n’est étrange
ni
beau, tout rejoint l’habituel indifférent, le rôle utile et le compar