1
de Lawrence, ce n’est pas à la seule analyse de l’
œuvre
en soi qu’il faut recourir, mais d’abord il convient de chercher le r
2
d il convient de chercher le rôle qu’a joué cette
œuvre
dans le conflit entre l’auteur et son époque. L’écrivain du xviie si
3
cle. Ils sont héros par autre chose que par leur
œuvre
: par l’action dont cette œuvre témoigne, et dont elle tire son effic
4
hose que par leur œuvre : par l’action dont cette
œuvre
témoigne, et dont elle tire son efficacité particulière. Car l’action
5
arge de conscience. Et dans cette marge naît leur
œuvre
écrite. Souvent l’homme d’un seul livre, sous des titres divers, peu
6
lle passion peuvent bien suffire à l’intérêt de l’
œuvre
. Elles font pâlir presque toutes nos fictions. Elles nous forcent à c
7
’action et plein d’humour quand il parlait de son
œuvre
écrite, l’autre contant ses aventures avec brio et insistant pour lir
8
Règlement du Proche-Orient (qui fut en partie son
œuvre
en 1921) pèse à ses yeux plus que ses campagnes, mais moins que son a
9
uille dans son cottage, eût pu être tenté par une
œuvre
analogue, transposition lyrique et « littéraire » des expériences de
10
is cette méditation était transcrite, formulée en
œuvres
écrites ; elle circulait ensuite, enseignée dans les écoles et plus t
11
rmée par un commerce rarement interrompu avec une
œuvre
dont la difficulté, précisément, n’a pas cessé de me séduire et incit
12
secte du zen. Le thème profond, omniprésent, de l’
œuvre
, c’est le problème du Dieu-homme, d’où naît celui de la personne, gén
13
u l’étreinte crée le jour et la nuit à la fois, l’
œuvre
et le néant, l’actuel et le virtuel. Là-dessus, trois observations :
14
e, n’ont jamais été nationales : elles furent des
œuvres
collectives, passant de foyers en écoles, du sud au nord, à l’ouest p
15
u : ce n’est que le Dieu moral qui est réfuté. » (
Œuvres
posthumes.) Tout autre est le cas de l’auteur contemporain auquel l’i
16
pseudo-religieuse et obsessive. Où la voit-on à l’
œuvre
? Non pas dans les faits, mais seulement dans les discours des advers
17
les arbitraires à la circulation des idées et des
œuvres
, c’est donc aller diamétralement à l’encontre du but allégué. Seule u
18
Qu’est-ce que l’Europe ? et l’annonce d’un grand
œuvre
consacré à la formation du plus vaste ensemble historique dans lequel
19
es mouvements de systole et de diastole animent l’
œuvre
entière de Reynold et lui donnent sa valeur exemplaire : je n’en conn
20
Reynold et l’Europe », Gonzague de Reynold et son
œuvre
, Fribourg, Éditions universitaires, 1955, p. 313-314.
21
is on ne peut les placer sur le même plan que nos
œuvres
critiques ou d’imagination. Et d’autre part, où tracer la limite entr
22
ante : La Divine Comédie. 36. Raimbaut d’Orange :
Œuvres
poétiques. 37. Al-Hallaj : Divan. II. — Livres ayant contribué à n
23
ke : Élégies de Duino. 70. R. Kassner : Toute son
œuvre
ou, en tout cas Les Éléments de la grandeur humaine. 71. M. de Unamun
24
e. 93. Garcia Lorca : Théâtre. 94. J. L. Borgès :
Œuvre
. 95. Machiavel : Discours sur la première décade de Tite Live. 96. A
25
laquelle contribuent non seulement la qualité des
œuvres
et de leur exécution, mais le paysage, l’ambiance d’une cité, et la t
26
tres et dans quelles conditions, quelles sont les
œuvres
nouvelles à créer, à quels artistes, metteurs en scène ou chefs on po
27
rique, je voulais tout savoir sur nos amis, leurs
œuvres
et leurs vies : j’avais couru tout droit rue de l’Odéon, comme à la s
28
r le père se concentre sur le démiurge et sur son
œuvre
: matière, chair, sexualité procréatrice, — tandis qu’un sentiment d’