1
ement : La menace, les menaces dont vous venez de
parler
, sont trop graves. Que peut-on faire encore ? Eh bien ! On peut se dé
2
: « Notre Assemblée, Messieurs, se voit réduite à
parler
de questions culturelles. Cela me fait penser à de vieilles dames qui
3
et nous donne seul la possibilité et le désir de
parler
de lui. Bien d’autres ont vécu des aventures semblables, mais lui « s
4
sses et ceux de l’Est européen). Certains, enfin,
parlent
en quête d’une communauté à rejoindre où à recréer dans l’action, et
5
ous forcent à croire qu’ici, enfin, un homme nous
parle
avec l’autorité d’une expérience virile poussée jusqu’aux extrêmes, d
6
crupules dans l’action et plein d’humour quand il
parlait
de son œuvre écrite, l’autre contant ses aventures avec brio et insis
7
s inciter à la révolte, dans les deux cas il faut
parler
leur langue, pénétrer leurs modes de penser, s’assimiler les procédés
8
nt illustrés. (Pour le courage physique, ils n’en
parlent
jamais qu’avec un scepticisme dénué de coquetterie.) Le seul désir bi
9
ugement. Ils tirent prétexte de leurs traditions,
parlent
d’ennemis héréditaires, mais ils oublient que leurs nationalismes ne
10
r des foyers de culture, si on les y invite, pour
parler
de leurs expériences et lancer des groupes intéressés par ces questio
11
de vos foyers, leur forum. Un dernier mot : on a
parlé
tout à l’heure de culture populaire. Je ne crois pas qu’il y ait une
12
nt fait la Suisse moderne. Ah ! oui ? Vous voulez
parler
des traditions communes des Vaudois et des Bernois, je pense ? Longue
13
y a-t-il de commun entre Genève et Glaris ? Et ne
parle-t
-on pas du « miracle suisse » précisément parce que tout s’opposait, h
14
arshall, Schuman ou Pflimlin… Comment pouvez-vous
parler
du projet de plan Marshall puisque la réalisation de celui-ci est déj
15
Petite Europe », disait l’autre jour Jean Monnet,
parlez
aussi des petits États-Unis qui ont tout juste autant d’habitants, ou
16
aïeutique, s’exerçant sur les mythes de l’âme. Je
parlais
tout à l’heure d’ellipses « saisissantes », et c’était au sens littér
17
ocabulaire. Adonnés à la même recherche, ils nous
parlent
tantôt de musique concrète ou de peinture abstraite, et les deux adje
18
leur haine chez beaucoup de mauvais peintres : on
parle
alors de désintégration — mais tout ce vocabulaire est à reprendre. 3
19
uropéenne ; la seconde, c’est que son directeur a
parlé
de l’Europe dans son discours du 1er août 1952 à Genève (sans même pr
20
isses qui souriaient, il y a 2 ans, quand on leur
parlait
du plan Schuman, s’inquiètent de le voir réalisé sans eux. Cette bonn
21
ut cela un dénominateur commun, et que venez-vous
parler
d’union, quand l’unité foncière a disparu ? Il serait fou, et il est
22
faiblesses : notre risque créateur. Mais quand je
parle
d’individu, il faut s’entendre. Le véritable Européen, c’est l’indivi
23
»… À mon premier retour, en 1946, je fus invité à
parler
sur « l’Esprit européen » aux Rencontres internationales de Genève… E
24
mp, d’ailleurs divisé, des agnostiques. Déjà l’on
parle
de mystiques sans Dieu, des saints sans Dieu. Malraux se demande si l
25
gnorance générale fait remonter la rumeur dont je
parle
, J.-P. Sartre. L’argument majeur de ce philosophe ne porte pas, bien
26
ou mieux, un projet de traité, dont tout le monde
parle
depuis deux ans, sur lequel tous les députés et journalistes européen
27
and temps de voir d’un peu plus près de quoi l’on
parle
? Quel est donc le contenu du projet, trop souvent ignoré par l’espri
28
Un procédé polémique des plus courants consiste à
parler
de la CED comme d’un « traité de réarmement de l’Allemagne ». Cette c
29
sme et nationalisme (septembre-octobre 1954)aa
Parler
fédéralisme sur un plan théorique serait contraire à l’attitude fédér
30
rire activement notre méthode. L’obstacle dont je
parle
est le nationalisme. Faire la critique du nationalisme, c’est dégager
31
tirer, vont essayer de faire la loi en Europe. On
parlera
beaucoup de « concert des nations », et de « droit international », m
32
l’esprit national. On n’y voit qu’une manière de
parler
… Et cependant cet esprit national est un dieu bien réel, et que l’on
33
ment patriotique, de peuples qui ont l’honneur de
parler
sa langue, quand celle-ci se trouve être celle d’une majorité dans le
34
ou même suisse). Les encyclopédies et les revues
parlent
couramment de « science française », de « science allemande », etc. (
35
amant de « science bourgeoise »). Sous Hitler, on
parlait
également de mathématiques allemandes, et sous Staline, d’une biologi
36
ces et des morts, la fonction sexuelle »17. Ainsi
parle
Shiva18 : « Pour mes dévots, je vais décrire le geste de l’Éclair (va
37
nt que cinq lignes y a en amours, … le regard, le
parler
, l’attouchement, le baiser, et le dernier qui est plus désiré, et auq