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as ; elle n’est donc nullement défendue par les «
Partisans
de la Paix ». À nous donc, à nous tous, de reprendre la tâche, honnêt
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catholiques ; des Monégasques insouciants et des
partisans
motorisés de la paix concentrée. Il n’y a que des hommes habitués à d
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trait mérite une attention spéciale. Peu sont des
partisans
au premier chef, et peut-être plusieurs d’entre eux se fussent-ils ré
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Suisse en Europe. Je précise : ce ne sont pas les
partisans
de la fédération européenne, les Schuman, les Spaak, les de Gasperi,
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més de renoncer à la neutralité, mais ce sont les
partisans
de la neutralité-tabou qui nous somment, nous fédéralistes, de renonc
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isons toutes personnelles qui ont fait de vous un
partisan
de l’Europe unie ? Je suis né à Neuchâtel, c’est-à-dire dans le canto
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n de la culture. Faut-il comprendre que vous êtes
partisan
des efforts pour l’union politique qui se poursuivent à Strasbourg et
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ns finales, la répartition des adversaires et des
partisans
de la CED apparaît facile à décrire. On peut même la prévoir selon l’
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ister du tout, et de s’inscrire par exemple aux «
partisans
de la paix », qui sont ceux d’une armée et de sa politique. L’action
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urs cadres et de leurs élites, reste à faire. Les
partisans
de l’Europe unie ont péché depuis quelques années — et non seulement
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les plus sensées que firent à ma thèse minima les
partisans
d’écoles au moins diverses, me voici ramené par une sorte de spirale
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us stables au monde, depuis plus d’un siècle. Les
partisans
de l’Europe unie ne manquent pas de le citer en exemple. Mais combien