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ement ce qui nous inquiète pour la paix, car nous
pensons
qu’ils aiment la paix, un peu comme le chat aime la souris et nous av
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ris et nous avons des raisons très précises de le
penser
. Nous publierons à ce sujet bientôt des textes que les grands chefs t
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ande de la Liberté Quelles sont nos armes ? Je
pense
que leur nature doit nous être indiquée par la nature même de la lutt
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parfaites, mais si nous les perdons un jour, nous
penserons
dans les camps qu’elles méritaient pourtant qu’on les défende. La dém
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lture. Notre culture est menacée À ceux qui
pensent
que la culture consiste en somme à lire des romans, à se tenir un peu
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e à parler de questions culturelles. Cela me fait
penser
à de vieilles dames qui font du crochet pendant que les armées ennemi
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ce défi de l’histoire, que pourrions-nous encore
penser
écrire ou dire sans une honte intime, sans une sorte de mépris pour n
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bjectifs sont meilleurs que notre lassitude ne le
pensait
. Rendus conscients des forces véritables de l’Europe et de l’Occident
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. Il n’y a plus de commune mesure entre celui qui
pense
et ceux qui agissent ; il n’y a donc plus de communauté réelle. Et c’
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t le langage un pouvoir authentique. Mais ceux-là
pensent
d’abord à l’action, et dans l’action à se réaliser, à mesurer le pouv
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la Conférence de Versailles. Mais comment ne pas
penser
à Saint-Exupéry ? Le parallèle s’impose entre ces deux figures. Qu’el
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faut parler leur langue, pénétrer leurs modes de
penser
, s’assimiler les procédés subtils qui fondent le prestige de leurs ch
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s comme un rouage dans la machine. Le mot-clé, je
pense
, c’est machine… Je laisse à d’autres le soin de dire si j’ai bien ou
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sme décent, c’est ce que j’espère, en général. Je
pense
qu’un pays bien constitué comme le nôtre, peut se permettre 1 % de mo
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vrages ; c’est pourquoi après cette interview, je
pense
qu’il est nécessaire de montrer nettement le point de vue de ceux qui
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raditions communes des Vaudois et des Bernois, je
pense
? Longue tradition en effet… comme celle qui « unissait » protestants
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une grande force d’exclusion. Seuls les mondains,
pensais
-je, savent encore exclure avec cette parfaite assurance, mais par man
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ner veut voir. D’une gnose alors ? On pourrait le
penser
. Mais ceux qui se font de la poésie une idée finalement plus favorabl
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lui accorder les attributs que les matérialistes
pensaient
être ceux de l’esprit, Denis de Rougemont nous rappelle, fort opportu
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aditionnelles ou récemment acquises. De plus, ils
pensent
que l’expérience suisse du fédéralisme n’est pas sans valeur pour l’E
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et diversité de l’Europe (juin 1953)t Beaucoup
pensent
aujourd’hui que l’Europe est trop diverse pour qu’on puisse l’unir. E
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’abord la maladie que j’appellerais française. Je
pense
non seulement à l’instabilité politique de la France, mais aussi aux
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Hollandais, les Belges, et surtout les Français,
pensaient
différemment, et cela se comprend. Une Wehrmacht autonome, renaissant
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ue personne ne diffère, il deviendrait mon juge !
pense
l’État idéologique, né d’une révolution sanglante, et qui se sait ill
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devant l’État.) Au « Buy british ! » répond le «
Pensez
français ! » (ou pensez allemand, ou même suisse). Les encyclopédies
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y british ! » répond le « Pensez français ! » (ou
pensez
allemand, ou même suisse). Les encyclopédies et les revues parlent co
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une référence au bon sens. III. Deux modes de
penser
Il y a dans notre Europe du xxe siècle, deux types d’esprit et de
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’Occident. Or nous voyons que la science actuelle
pense
également par champs de forces en interaction, non par entités statiq
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ment ou à un autre, nous avons tous été tentés de
penser
qu’on ne pouvait réussir l’union que par une série de mesures « concr
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ature, qui triomphait dans le temps même que nous
pensions
la renier comme telle, au nom de l’Aventure, de la Révolution, ou de
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deux temples de ce culte (l’autre étant comme on
pense
la NRF ) se cachait derrière une vitrine très savamment discrète de
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alité que les Suisses le prennent pour banal. Ils
pensent
mener la vie normale du genre humain, l’anarchie et la guerre étant d
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anarchie et la guerre étant des exceptions. Ainsi
pensent
les Français du climat tempéré dont ils jouissent à peu près seuls au
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retenue… À propos de cette pax helvetica, si vous
pensez
que j’exagère, laissez-moi recopier un « avis » imprimé que j’ai pu l
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les conséquences pratiques. Pour notre part, nous
pensons
ce qui suit : Serrer la main d’un communiste occidental, qui approuve