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l voulait être ouvert, plutôt qu’ouvrir. Tous ses
personnages
romanesques sont des renfermés, et qui en souffrent : il les avait vé
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allèguent. S’agirait-il d’une fuite devant leur «
personnage
», ou d’une réelle passion de servir ? Ou serait-ce simplement qu’ils
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ion réelle, tout en demeurant l’enjeu final et le
personnage
sacré. 2. Œdipe et les dieux Freud désigne du nom d’Œdipe le co
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mi-chemin entre l’instituteur et le gendarme, un
personnage
vêtu d’un sévère uniforme au col bordé de perles blanches mordant sur