1 pas une panacée. Elle ne résout aucun des grands problèmes humains et personnels, mais s’ils sont un jour résolus sans équivoque

2 s qu’il eût peut-être mieux valu s’occuper de ces problèmes pendant qu’on le pouvait, sauver au moins la possibilité de les vivre

3 s’annuler réciproquement. La vérité, c’est que le problème posé est insoluble par définition. Car si l’Américain tend à être une

4 lange. Il nous faut faire l’Europe, voilà le vrai problème . Pour la faire, il nous faut partir des quelque 300 millions d’hommes

5 nion sur quelque chose qui soit commun à tous, le problème revient donc à faire comprendre à ces 300 millions d’hommes et de fem

6 prix. En ce milieu du xxe siècle, c’est moins le problème de la liberté qui nous importe, que son drame. De l’issue de ce drame

7 stes, et peu de plus actuels dans la durée de nos problèmes fondamentaux. On y reviendra, comme on est revenu à L’Esprit de conqu

8 res ou carnets intimes, et l’on s’aperçoit que le problème , loin d’y recevoir la réponse la plus attendue, n’y apparaît que plus

9 comme plusieurs de sa race, ne se situe dans nos problèmes que d’une manière fragmentaire, en des occasions si concrètes que la

10 vue de nos débats politiques, pour se borner à un problème brûlant, qu’est-il possible d’inférer de son exemple ? Les citations

11 e eux. Faudra-t-il l’accuser d’inconséquence ? Le problème est un peu différent. Sans aucun doute, la morale qu’il professe, au

12 u Château de Kafka, la ligne de repli (devant les problèmes métaphysiques) d’un homme qui a raté ses « sorties » et pour lequel i

13 enaître « L’Europe-Culture ». Là, se pose le vrai problème de vos foyers de culture. Un foyer constitue le lieu de rencontre ent

14 culture et une situation locale bien définie, les problèmes d’urbanisme, d’éducation populaire, de questions sociales y sont évoq

15 lle… Renoncer à notre neutralité ? Reste le problème de notre neutralité dans une fédération européenne ? Reconnaissons qu

16 . Mais il a raison d’insister sur le fait que ces problèmes sont vitaux pour notre pays, et, contre M. Rappard antieuropéen, j’en

17 thème profond, omniprésent, de l’œuvre, c’est le problème du Dieu-homme, d’où naît celui de la personne, générateur de l’Occide

18 t celui de la personne, générateur de l’Occident. Problème ambigu s’il en fût, et qui échappe par définition à la pensée systéma

19 , c’est eux. Et dès lors la neutralité devient un problème épineux. J’aborde ici la seconde partie de ma thèse. II En tant

20 allégués sont vagues, et leur sincérité pose des problèmes . Les vraies raisons de ces deux refus, je le sais, sont d’un ordre ps

21 propres décisions, nous détournant ainsi du vrai problème , des vrais périls urgents et de leur solution pour le salut de l’Occi

22 cales d’Extrême-Orient, afin de nous détourner du problème préalable qui reste, de toute évidence, l’union de l’Europe, conditio

23 ffaires. L’Indochine ne vous regarde pas, mais le problème allemand nous intéresse beaucoup… Le colonialisme européen n’existe p

24 mais nous ne pouvons la faire sans eux. Voilà le problème concret qui se pose aujourd’hui. Les nationalistes ont sur nous les a

25 peuple et des cantons, ces articles ont résolu le problème à la satisfaction générale depuis cent-six ans. On peut les qualifier

26 alistes d’autre part. 3° — Deux mots enfin sur le problème de la culture. Il est une phrase que je retrouve dans tous les plans

27 e fédéraliste peut résoudre, en le supprimant, le problème mal posé des échanges culturels. La culture est par essence un phénom

28 ont restés nos peuples et leurs élites, devant le problème européen ? Avant toute propagande massive, une préparation des esprit

29 ays et presque dans toutes nos villes, posait des problèmes tout nouveaux. Plus on joue de musique, et mieux cela vaut, dira-t-on

30 56)ah Revenant après de longues années sur les problèmes soulevés par L’Amour et l’Occident 11, j’éprouve le besoin de rasse

31 duisent bien plutôt la nature révolutionnaire des problèmes qui surgissent dans l’époque, l’inordinatio profonde du siècle, dont

32 la religion seraient venues surajouter leurs faux problèmes … Cette illusion touchante peut les aider à vivre, mais non pas à comp

33 naire. En fait, elle a tranquillement supprimé le problème de la souveraineté cantonale (ou nationale), et cela d’une manière qu