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nt tous d’appartenir d’abord à une famille, à une
région
, à une patrie, à une coutume ou une langue, bien distinctes, et qu’il
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ravail les entraîne loin de leur patrie, dans des
régions
sauvages. Les voici doublement dépaysés, et par la plus curieuse coïn
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biance d’une cité, et la tradition musicale d’une
région
. Voilà pourquoi l’association n’admet comme membres que ceux des fes
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en, gracieusement mêlés au peuple souverain de la
région
, dans cette égalité scolaire que créent en Suisse les bancs de bois p