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ive et de leurs ratures infinies. C’est qu’ils se
refusent
aux entraînements de l’idéologie ou du lyrisme, s’appliquent aux desc
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ende prévaut contre le fait. Pendant longtemps on
refusera
de les croire morts : ils sont revenus de tant d’autres dangers, et p
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en accepter, lorsqu’on n’a pas connu, ou que l’on
refuse
, la transcendance qui pourrait seule le transformer. Attitude exempla
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ns connues de chacun. Tout d’abord, les Européens
refusent
de se croire aussi nombreux qu’ils sont, parce qu’ils n’ont pas encor
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é ne doit pas servir de prétexte à la Suisse pour
refuser
de collaborer à l’union européenne. I En effet, pour que la Suis
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Mais s’il en est ainsi, nous dira-t-on, pourquoi
refusez
-vous de participer à la défense commune de l’Europe ? La réponse est
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n réclament à tout propos et hors de propos, pour
refuser
de faire face à la situation concrète de l’Europe et de la Suisse en
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Centre européen de la culture, à Genève, s’est vu
refuser
toute espèce de subvention (en argent ou en facilités habituelles don
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uis le Conseil d’État de Genève, aient froidement
refusé
, l’un après l’autre, d’aider le Centre en aucune manière. Les prétext
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Dieu est mort nous dit seulement que l’homme doit
refuser
Dieu tel que Sartre l’imagine : gênant pour l’homme. Il n’en résulte
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ne Wehrmacht autonome. C’est au contraire si l’on
refuse
la CED que cette Wehrmacht sera reconstituée, mais alors sans contrôl
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moyens d’assurer sa défense, c’est-à-dire si elle
refuse
la CED, alors et dans ce cas précisément, elle tombera sous la dépend
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comme une réalité, mais bien comme un prétexte à
refuser
les évidences. Refoulée du domaine des forces réelles et des pouvoirs
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une tendance psychologique morbide, un prétexte à
refuser
toute mesure réaliste de coopération et à autoriser les tricheries le
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nne au nationalisme, chez nous, au nom de quoi le
refuserait
-on ailleurs à des systèmes qui ne s’en distinguent nullement par les
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titude est absurde ; pratiquement, elle conduit à
refuser
toute proposition concrète d’union — on vient de le voir par le rejet
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eure. J’estime donc que les fédéralistes doivent
refuser
le faux dilemme : souveraineté ou fédération. Et sur la base d’une ex
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. Mais là encore, je demande que les fédéralistes
refusent
de se battre pour des mots trompeurs. C’est le contenu et la visée fé
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st pas plus libéral que planificateur, et il doit
refuser
ce faux dilemme, pour la même raison qu’il refuse de choisir entre le
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efuser ce faux dilemme, pour la même raison qu’il
refuse
de choisir entre les autonomies régionales absolues et l’unification
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n Âge. Il peut être purement rêvé, et beaucoup se
refusent
à y voir autre chose qu’un tournoi verbal. Il peut traduire aussi les
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ors des débats où elles figurent comme prétexte à
refuser
les évidences européennes ? Voyons le concret. La souveraineté nation