1 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
1 ive et de leurs ratures infinies. C’est qu’ils se refusent aux entraînements de l’idéologie ou du lyrisme, s’appliquent aux desc
2 ende prévaut contre le fait. Pendant longtemps on refusera de les croire morts : ils sont revenus de tant d’autres dangers, et p
3 en accepter, lorsqu’on n’a pas connu, ou que l’on refuse , la transcendance qui pourrait seule le transformer. Attitude exempla
2 1952, Articles divers (1951-1956). L’Heure de l’impatience (mars 1952)
4 ns connues de chacun. Tout d’abord, les Européens refusent de se croire aussi nombreux qu’ils sont, parce qu’ils n’ont pas encor
3 1953, Articles divers (1951-1956). Suisse, Europe et neutralité (6 mars 1953)
5 é ne doit pas servir de prétexte à la Suisse pour refuser de collaborer à l’union européenne. I En effet, pour que la Suis
6 Mais s’il en est ainsi, nous dira-t-on, pourquoi refusez -vous de participer à la défense commune de l’Europe ? La réponse est
7 n réclament à tout propos et hors de propos, pour refuser de faire face à la situation concrète de l’Europe et de la Suisse en
8 Centre européen de la culture, à Genève, s’est vu refuser toute espèce de subvention (en argent ou en facilités habituelles don
9 uis le Conseil d’État de Genève, aient froidement refusé , l’un après l’autre, d’aider le Centre en aucune manière. Les prétext
4 1953, Articles divers (1951-1956). Une fausse nouvelle : « Dieu est mort » (juin-juillet 1953)
10 Dieu est mort nous dit seulement que l’homme doit refuser Dieu tel que Sartre l’imagine : gênant pour l’homme. Il n’en résulte
5 1954, Articles divers (1951-1956). La CED, ses mythes et sa réalité (12 août 1954)
11 ne Wehrmacht autonome. C’est au contraire si l’on refuse la CED que cette Wehrmacht sera reconstituée, mais alors sans contrôl
12 moyens d’assurer sa défense, c’est-à-dire si elle refuse la CED, alors et dans ce cas précisément, elle tombera sous la dépend
6 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
13 comme une réalité, mais bien comme un prétexte à refuser les évidences. Refoulée du domaine des forces réelles et des pouvoirs
14 une tendance psychologique morbide, un prétexte à refuser toute mesure réaliste de coopération et à autoriser les tricheries le
15 nne au nationalisme, chez nous, au nom de quoi le refuserait -on ailleurs à des systèmes qui ne s’en distinguent nullement par les
16 titude est absurde ; pratiquement, elle conduit à refuser toute proposition concrète d’union — on vient de le voir par le rejet
17 eure. J’estime donc que les fédéralistes doivent refuser le faux dilemme : souveraineté ou fédération. Et sur la base d’une ex
18 . Mais là encore, je demande que les fédéralistes refusent de se battre pour des mots trompeurs. C’est le contenu et la visée fé
19 st pas plus libéral que planificateur, et il doit refuser ce faux dilemme, pour la même raison qu’il refuse de choisir entre le
20 efuser ce faux dilemme, pour la même raison qu’il refuse de choisir entre les autonomies régionales absolues et l’unification
7 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
21 n Âge. Il peut être purement rêvé, et beaucoup se refusent à y voir autre chose qu’un tournoi verbal. Il peut traduire aussi les
8 1956, Articles divers (1951-1956). Un exemple pour l’Europe (octobre 1956)
22 ors des débats où elles figurent comme prétexte à refuser les évidences européennes ? Voyons le concret. La souveraineté nation