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ter qu’il en soit ainsi, le laisser croire, c’est
renoncer
d’avance à nos meilleurs atouts dans la lutte historique où nous somm
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tiques de Cherbuliez ou de Pyrame de Candolle…
Renoncer
à notre neutralité ? Reste le problème de notre neutralité dans un
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itiques » ? Certes non ! Ce serait, pour le coup,
renoncer
à notre neutralité. Or, la neutralité ne doit pas nous empêcher de co
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t pas nous empêcher de collaborer ; mais pourquoi
renoncerions
-nous à cet avantage, et contre quoi, je vous le demande ? Encore une
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mande ? Encore une fois, non. Il ne s’agit pas de
renoncer
à cette neutralité, mais il ne faut pas non plus qu’elle nous empêche
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nt qu’elle a perdu le sens de ses fins ou qu’elle
renonce
à les saisir. De même, les origines d’une civilisation ne doivent pas
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ions n’est présente. Si nous voulions aujourd’hui
renoncer
à la neutralité, que se passerait-il ? On ne le voit pas. À qui irion
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peri, les Adenauer, qui nous ont jamais sommés de
renoncer
à la neutralité, mais ce sont les partisans de la neutralité-tabou qu
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ité-tabou qui nous somment, nous fédéralistes, de
renoncer
à toute idée de construction européenne. Ce n’est pas nous qui opposo
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u vol à main armée. ⁂ Enfin, l’État-nation, ayant
renoncé
au cujus regio, ejus religio, non par esprit œcuménique mais par mépr
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s ont trouvé le lieu où l’on peut se fédérer sans
renoncer
à sa vocation. Ce n’est pas un ersatz d’église, ce n’est pas un parti
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enne », comme on l’a dit à Washington, puisqu’ils
renoncent
à affirmer le principe supranational. En résumé : rien n’est perdu, m
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étournent qu’avec cet air exaspérant de celui qui
renonce
à comprendre… Ah ! mais il faut y être pour sentir et pour réagir com