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on étendue, ni le nombre de ses habitants, ni ses
richesses
naturelles ne la destinaient fatalement au rôle qu’elle a pourtant jo
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bitants pencherait. Il faut donc tenir compte des
richesses
naturelles et de la production matérielle. Or, on peut vérifier facil
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surmontées ; les secondes ont produit nos vraies
richesses
, et la meilleure raison de nous fédérer, c’est que seule l’union fédé
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e est le pire ennemi de l’Europe fédérée, dont la
richesse
et la créativité naissent de la diversité. Mais si l’on insiste trop
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urs « complémentaires », dont le dialogue fait la
richesse
de l’Occident. Or nous voyons que la science actuelle pense également
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uropéenne, dans son unité fondamentale et dans la
richesse
de ses diversités nationales et régionales. Notre but est donc à la f