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Faire la propagande de la liberté, c’est
sauver
notre culture (décembre 1950-janvier 1951)a Nous sommes ici parce
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Si nous la gagnons, nous n’aurons pas encore tout
sauvé
, mais nous aurons, à notre place et selon nos pouvoirs, fait quelque
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ccuper de ces problèmes pendant qu’on le pouvait,
sauver
au moins la possibilité de les vivre à notre manière. Pour notre part
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liberté, c’est, en fin de compte et du même coup
sauver
notre culture. Notre culture est menacée À ceux qui pensent que
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is de, « Faire la propagande de la liberté, c’est
sauver
notre culture », Les Amis de la liberté, Paris, décembre 1950–janvier
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des libertés réelles et personnelles. C’est pour
sauver
ces différences qu’il faut maintenant nous fédérer. Si nous voulons r
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de nos libertés ; puis à vouloir le moyen de les
sauver
. L’éducation européenne devra montrer que nos libertés dépendent en f
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on, — celle qui veut surmonter nos divisions pour
sauver
nos diversités. b. Rougemont Denis de, « Comment fabriquer un Euro
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’un avenir meilleur ! » Ce langage seul peut nous
sauver
. Encore faut-il que nous soyons en mesure de le tenir sans équivoque,
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erdre toutes nos libertés. Nous pouvons aussi les
sauver
en décidant de les répandre. Si nous voyons les faits, et savons les
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être un commentaire de leur activité, visant à la
sauver
de l’anecdote historique pour en extraire une sagesse commune, et pou
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ment un seul corps, et qu’il est fou d’essayer de
sauver
un seul organe au détriment des autres. Le cœur ni le poumon ne vivra
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e ne pas regarder en face : la Suisse ne sera pas
sauvée
si l’Europe est perdue, demain, faute de s’unir. s. Rougemont De
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édérer, c’est que seule l’union fédérale peut les
sauver
et les garantir dans notre siècle. Mais d’où proviennent ces confusio
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l’Histoire, le réalisme, la raison, la volonté de
sauver
nos libertés, et la jeunesse. Certes, on peut se demander s’il est bi
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re franchement à nos nations qu’elles ne pourront
sauver
leur individualité qu’en sacrifiant leur souveraineté fictive. » (Éta