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ur le démiurge et sur son œuvre : matière, chair,
sexualité
procréatrice, — tandis qu’un sentiment d’adoration purifiée peut se p
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ttue en brèche. Du côté cathare, le mariage et la
sexualité
sont condamnés sans rémission par les Parfaits ou « consolés », mais
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ée par les mêmes hommes qui persistent à tenir la
sexualité
pour « vilaine » ; et nous voyons souvent dans le même poète un adora