1 re à la question dont ces pages sont nées : « Que signifie pour nous Lawrence ? » Les dictateurs sont les héros de la masse, qui

2 te : « C’est dans la mesure où le christianisme a signifié la fin des religions et des magies, nées de la peur, qu’il a permis l

3 nfusions. En effet, l’absence actuelle d’union ne signifie pas que l’unité millénaire de l’Europe n’existe plus. Ensuite, il fau

4 , en perdant ses racines dans la réalité, cela ne signifie pas qu’il ait cessé de nuire. Les écrivains — poètes et philosophes —

5 t mort » est un non-sens. Car où bien « Dieu » ne signifie rien — et dans ce cas il ne peut pas mourir ; ou bien il signifie la

6 et dans ce cas il ne peut pas mourir ; ou bien il signifie la Vie, l’Éternité, le Total, l’Être en soi, l’Inconnaissable, et, da

7 sur la base du même traité. Si vraiment ce traité signifie la disparition de l’armée française, il empêche pour les mêmes raison

8 ictoire. Remarquez que ce cri, à ce moment-là, ne signifie point : « Vive la France ! » — pas davantage que le cri : « Les Sovie

9 vantage que le cri : « Les Soviets partout ! » ne signifiera sous Lénine : « Vive la Russie ! » Il proclame un nouveau mythe. Il e

10 in, dit le sceptique d’aujourd’hui, que peut bien signifier au concret cette « chasteté » prônée par des jongleurs ? Et comment e

11 lus (qui veut dire proprement : entier). Consoler signifie donc étymologiquement : rendre entier. 16. Voir Mircea Eliade, Techn