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onnages romanesques sont des renfermés, et qui en
souffrent
: il les avait vécus, mais libérés en lui. Modeste et probe avec une
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t dans son erreur. C’est bien plutôt un homme qui
souffre
de la crainte morbide de perdre une puissance magique qui n’existe pa
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s saints et les plus grands docteurs subissent et
souffrent
la passion au moins autant qu’ils ne parviennent à la transmuer en ve
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sure même où elle est déraisonnable, où elle fait
souffrir
, où elle exerce ses ravages aux dépens du monde et de soi. Pourquoi c