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e qu’elle savait faire. Si l’on veut que l’Europe
survive
, l’heure est venue de l’impatience créatrice. Je n’imagine pas de mei
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freine l’union nécessaire. Qu’un tel nationalisme
survive
à ses raisons, en perdant ses racines dans la réalité, cela ne signif
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cle le seul principe de communion civique qui ait
survécu
au raz-de-marée rationaliste et jacobin ; et aussi l’agent principal
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ne ainsi transmise. Ils voulaient que leur combat
survive
à leur défaite. Ce message doit être entendu, cet appel propagé dans