1 re 1952)i Je vais limiter mon exposé à un seul thème , un thème-cathédrale : l’Europe. La thèse que je vais développer rapi

2 is maintenant vous présenter un certain nombre de thèmes  : 1° Il n’est pas possible que la culture puisse agir — c’est-à-dire

3 ncernant la vie européenne et contenant chacun un thème , quelques arguments, quelques chiffres, quelques rappels historiques

4 une culture, — ici l’européenne. Quelques grands thèmes ou archétypes expriment l’Europe : Orphée, Iphigénie, Faust, Hamlet,

5 tes les moines bouddhistes de la secte du zen. Le thème profond, omniprésent, de l’œuvre, c’est le problème du Dieu-homme, d’

6 e série de dix arguments, qui peuvent fournir les thèmes d’une campagne efficace : Les fédéralistes ne demandent pas l’aband

7 le : « Dieu est mort » (juin-juillet 1953)u Le thème de la mort de Dieu a constitué depuis la fin de la guerre la hantise

8  absurde », etc. Cependant, je ne vois pas que ce thème , partout mentionné, ait été vraiment discuté, jusqu’ici. Du défi dése

9 déralistes doivent-ils engager la bataille sur le thème de « l’abandon des souverainetés » ? Je ne le crois pas, pour deux ra

10 ier regard qui enflamme – et servir à tactus.) Le thème des Cinq lignes d’amour peut être suivi à travers toute la poésie lat