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udra, mais jamais un Européen. À l’appui de cette
thèse
absolue, j’invoquerai tout d’abord deux exemples connus qui feront mi
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un seul thème, un thème-cathédrale : l’Europe. La
thèse
que je vais développer rapidement pourrait s’exprimer de cette manièr
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aite par les nations, c’est une plaisanterie, une
thèse
sans fondement racontée dans les livres d’école depuis cent ans. Il n
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Suisse, Europe et neutralité (6 mars 1953)s La
thèse
que je voudrais défendre devant vous tient en deux phrases : 1. Une d
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ème épineux. J’aborde ici la seconde partie de ma
thèse
. II En tant que professionnel de l’idée européenne, j’ai pu mes
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ntraire elles élargissent pour mieux l’asseoir ma
thèse
originelle, que je réitère, sur la liaison profonde entre la cortezia
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s polémiques parfois fort vives provoquées par ma
thèse
, plus ou moins bien comprise12, les découvertes multipliées depuis qu
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tives. Et je ne prétends aucunement confirmer une
thèse
quelconque en appelant l’attention du lecteur sur certains faits que
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u des objections les plus sensées que firent à ma
thèse
minima les partisans d’écoles au moins diverses, me voici ramené par
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t été publiées portaient beaucoup moins sur cette
thèse
que sur sa réduction à la seule hypothèse que j’avais mentionnée au c
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l’amour courtois à l’hérésie néo-manichéenne. Ma
thèse
a été souvent attaquée par les historiens et les maîtres de Sorbonne.