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ntellectuels, visés en premier lieu par la menace
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, d’où qu’elle vienne. Nous savons que la phase actuelle de la lutte c
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ce sujet bientôt des textes que les grands chefs
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de divers pays ont pris soin d’écrire eux-mêmes depuis longtemps et d
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opposer aux campagnes massives et mécaniques des
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, des procédés de même nature. Nous n’opposerons pas au fanatisme un a
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idées, de croyances, de conceptions du monde. Les
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, eux, le savent très bien. Si nous reculons devant le défi… Lor
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le rester ; de l’autre, ceux qui vivent en régime
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, et qui n’ont pas nos libertés, qu’ils jugent trompeuses. Tous les au
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où l’homme veut être total, l’État ne sera jamais
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. c. Rougemont Denis de, « Défense de nos libertés », Contacts litt
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la plus tentante, le stalinisme et les mouvements
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en général. Il fut pourtant leur adversaire et il se fût battu contre
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tivement, il en est le fourrier. Les fausses fois
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n’ont d’ennemi sérieux que la foi. Pourtant, à ceux qui disent que La
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tiques et d’intérêts, dans une espèce d’espéranto
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… Cette vision pessimiste de notre sort repose sur deux graves confusi
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ationaliste, pour aboutir de nos jours à l’esprit
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, nous a fait croire que l’unité et la diversité étaient des réalités
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in, centralisateur, unificateur et nécessairement
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est le pire ennemi de l’Europe fédérée, dont la richesse et la créati
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, depuis le xviiie siècle, a préparé la réaction
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que nous subissons. C’est avec la poussière des individus que l’État
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r suite, l’invasion irrésistible de la propagande
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, et démission finale entre les mains d’une petit groupe d’« apaiseurs
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umettre alors toute l’Europe à une nation unique,
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, assumant au mépris des personnes ses prétentions d’Église sans Dieu,
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lture, nous jette donc finalement en plein délire
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, seul achèvement possible du nationalisme. Et ceci nous permet, par c
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tionalistes (dont les plus conséquents se nomment
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) et les fédéralistes. Quelles ont été les manifestations que l’on peu
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mesure qu’il se faisait lui-même de plus en plus
totalitaire
. Si l’Europe, entre 1914 et 1954, a connu la décadence rapide, la chu
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isme redouté par le nationaliste, interdit par le
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, est le secret des pouvoirs créateurs et de la santé mentale de l’Occ