1
r 1951)a Nous sommes ici parce que nous savons
tous
que notre civilisation peut mourir demain et que ce n’est pas là une
2
ne phrase1. Nous sommes ici parce que nous savons
tous
que le salut reste encore possible, mais qu’il suppose deux condition
3
épondrai : Nous sommes ici parce que nous croyons
tous
que la paix et la liberté sont en réalité indivisibles, qu’elles sont
4
la moindre dans cette défense qui vous intéresse
tous
directement. Nous nous sentons, comme intellectuels, visés en premier
5
mplicité dans le sophisme. Et puis, vous le savez
tous
, tout cela ne sonne pas vrai, n’est pas sincère ; ce qu’on nous a vol
6
les « Partisans de la Paix ». À nous donc, à nous
tous
, de reprendre la tâche, honnêtement cette fois-ci, cartes sur table.
7
up un espoir. Quelques-uns répondent, enfin, pour
tous
ceux qui se taisent et qui se découragent. À vous de les rejoindre. J
8
baser l’union sur quelque chose qui soit commun à
tous
, le problème revient donc à faire comprendre à ces 300 millions d’hom
9
es 300 millions d’hommes et de femmes, qu’ils ont
tous
en commun, précisément, leur volonté de rester chacun soi-même à sa f
10
s habitants de notre cap, c’est l’idée qu’ils ont
tous
d’appartenir d’abord à une famille, à une région, à une patrie, à une
11
s grands exemples, sont à peu près les mêmes chez
tous
nos peuples. Elles sont tout autres, et parfois même absentes en Russ
12
ertés (octobre 1951)c d Si l’on passe en revue
tous
les arguments avancés depuis des siècles pour ou contre la liberté hu
13
n’ont pas nos libertés, qu’ils jugent trompeuses.
Tous
les autres motifs de conflit que l’on pourrait énumérer sont discutab
14
sible de discuter, ce qui est évident aux yeux de
tous
, des deux côtés, c’est que nous voulons la liberté, et que les autres
15
’avance — avant une guerre, qui serait perdue par
tous
— cette lutte où nous sommes engagés, la première condition de succès
16
s animateurs, suggéré sa structure fédérale. Dans
tous
ses livres de voyages, d’analyse morale ou d’histoire — mais nulle pa
17
ionnée. Il voulait être ouvert, plutôt qu’ouvrir.
Tous
ses personnages romanesques sont des renfermés, et qui en souffrent :
18
oyce à Trieste, en Suisse, en France ; et presque
tous
les écrivains américains). D’autres s’exilent dans un métier d’errant
19
historique et la sincérité de leurs convictions,
tous
ces hommes sont, ou furent, des individualistes à la recherche d’une
20
’un Anglais et l’autre Français, et bien qu’ayant
tous
deux vécu leur aventure à l’étranger, parfaits représentants de leur
21
’un protestant et l’autre catholique, et bien que
tous
les deux éloignés de leur foi, irrévocablement marqués par deux moral
22
ers l’histoire et l’autre vers les sciences, mais
tous
deux inventeurs de machines, vont choisir des métiers où la technique
23
ce commerce prolongé et de la coutume du désert,
tous
les deux garderont le secret d’influencer et de manier les hommes par
24
tard, se le reprochera, mais non Saint-Exupéry.)
Tous
les deux se moquent des grades, qu’on leur en donne ou non, et sont p
25
lus vieux que leurs camarades, bien qu’ayant eu «
tous
les membres brisés » au cours de leurs campagnes précédentes, bien qu
26
nt moderne de l’entrée au couvent au Moyen Âge ».
Tous
deux sont détachés de la foi, et peut-être à la fin de la foi en eux-
27
du et pour l’éducation de sa personne. Il dépasse
tous
les autres dans ce sens. Et je ne lui vois d’égal, dans l’exigence qu
28
i-même les frais de l’expérience et se refusant à
tous
les faux-fuyants que nous offrent les causes politiques, le romantism
29
erté, Violence, Angoisse, et le plus équivoque de
tous
: Révolution. On dirait qu’il a fait sur lui-même une étude de la rés
30
foyers des listes de conférenciers, choisis dans
tous
les pays européens, avec le temps dont ils disposent, les horaires qu
31
rie, ne vaudrait-il pas mille fois mieux les unir
tous
dans une seule et même alliance ? » Alors quoi : est-ce à dire que no
32
compté que les six pays de la Haute Autorité font
tous
ensemble un peu plus de 155 millions d’habitants ? Si vous appelez ce
33
nt contre eux les leçons de l’Histoire entière et
tous
les exemples vécus par trois-mille-cinq-cents ans de civilisation occ
34
de notre budget national beaucoup plus forte que
tous
les autres pays. Ici encore, on ne voit pas ce que l’abandon de notre
35
histoire de l’Europe ; que son sort dépend donc à
tous
égards du sort de l’Europe. (Même si M. Rappard démontre que ses écha
36
ie, l’Afrique ou l’URSS, les caractères communs à
tous
nos peuples apparaissent aussitôt mille fois plus importants que nos
37
ne, anglicane, luthérienne et même calviniste ont
tous
la même structure, à très peu de phrases près. Nous l’ignorons, mais
38
anisation de la vie sociale ou politique dérivent
tous
de Rome et de l’Église : au commencement furent la paroisse et la com
39
période que j’ai écrit la plupart de mes livres,
tous
centrés sur la définition d’une doctrine personnaliste dont la traduc
40
érer les uns des autres : c’est ce que nous avons
tous
en commun. J’écris en ce moment un livre qui sera intitulé : Le Sens
41
hui le point faible. Mais il y a plus grave. Dans
tous
nos pays européens, on méconnaît à la fois la faiblesse présente et l
42
il de la conscience européenne que sont consacrés
tous
les efforts du Centre européen de la culture. Faut-il comprendre que
43
cap de l’Asie (1er juin 1954)y J’entends dire
tous
les jours à Genève : « Nous sommes occupés par les Jaunes ! ». La phr
44
ontres de Berlin se sont soldées par un échec sur
tous
les points de l’ordre du jour, elles n’en ont pas moins apporté un él
45
t tout le monde parle depuis deux ans, sur lequel
tous
les députés et journalistes européens ont pris position en public ou
46
contraint de renforcer la police, de centraliser
tous
les éléments du pouvoir, et de transformer la justice en instrument d
47
illégitime dans sa prétention à régner au nom de
tous
contre une moitié du peuple. Mais si, à l’intérieur, l’idée de natio
48
r la superstition jacobine, il verrait comme nous
tous
que la souveraineté absolue n’est qu’un mythe, inventé par les prêtre
49
ation, la radio, les armes nouvelles, échappent à
tous
égards aux cadres nationaux, et cela par leur nature, ou par leur por
50
r : celle de l’union européenne. Il est clair que
tous
les obstacles à cette union viennent de l’esprit nationaliste, jacobi
51
les primaires de la presse, des parlements, et de
tous
les degrés de l’enseignement. Dès qu’on y touche, on provoque une opp
52
onstitution fédérale, et comme tels, ils exercent
tous
les droits qui ne sont pas délégués au pouvoir fédéral. Article 5. —
53
a culture. Il est une phrase que je retrouve dans
tous
les plans et projets « culturels » élaborés par les États, par l’Unes
54
sions. I. — À un moment ou à un autre, nous avons
tous
été tentés de penser qu’on ne pouvait réussir l’union que par une sér
55
ope unie est une révolution. Elle doit passer par
tous
les stades préparatoires des révolutions réussies. 9. Proverbe qui
56
raissait une brochure contenant les programmes de
tous
les festivals-membres pour la saison suivante. Premier témoignage tan
57
ltiplication rapide des festivals de musique dans
tous
nos pays et presque dans toutes nos villes, posait des problèmes tout
58
s confusions des valeurs. Le public, sollicité de
tous
côtés, ne sait plus où aller et voudrait qu’on l’oriente. Les artiste
59
archives musicales — uniques en Europe — permet à
tous
les festivals membres de savoir ce qui a été fait par d’autres et dan
60
rienne ? De l’ancêtre Claudel aux jeunes d’alors,
tous
ceux qu’elle estimait défilèrent un à un devant l’objectif — bien nom
61
de Bène et aux frères ortliebiens de Strasbourg,
tous
condamnent le mariage, — que par ailleurs, le pape-moine Grégoire VII
62
n’avait pas attendu le dogme pour triompher dans
tous
les arts. Enfin, voici un dernier trait dont on verra qu’il est tout
63
al et patriarcal (partage égal des domaines entre
tous
les fils, ou « pariage », d’où perte d’autorité du suzerain) ; à une
64
ui étaient dans l’air depuis deux-cents ans. Dans
tous
les cas, ils chantaient pour des châtelaines dont il fallait apaiser
65
à vivre, mais non pas à comprendre leur vie. Car
tous
, tant que nous sommes, sans le savoir, menons nos vies de civilisés d
66
e religieuse de la femme est commune d’ailleurs à
tous
les courants mystiques du Moyen Âge indien… Le tantrisme est par exce
67
du côté droit, après ils dormiront enlacés, etc.
Tous
ces préliminaires ont pour but « l’autonomisation » de la volupté — c
68
peur que je ne sois retenu là-bas (en enfer) ; en
tous
lieux je me tiens pour ton prisonnier et, réconforté par toi sur tout
69
ime dans des termes qui seront repris par presque
tous
les grands mystiques de l’Occident. Il nous semble parfois se réduire
70
ser, et le dernier qui est plus désiré, et auquel
tous
les autres tendent pour leur finale résolution, c’est celui qu’on nom
71
bataillons noirs et pensifs, s’arrêtant au sommet
tous
ensemble — et s’ouvre à l’autre bout dans l’espace doré d’un ciel mér
72
onstitution fédérale et, comme tels, ils exercent
tous
les droits qui ne sont pas délégués au pouvoir fédéral. Article 5. —
73
ois. Ici la Fédération des écrivains hongrois : À
tous
les écrivains du monde, à tous les savants, à toutes les associations
74
vains hongrois : À tous les écrivains du monde, à
tous
les savants, à toutes les associations d’écrivains et académies, à l’
75
aire oublier, ou de lui chercher des excuses. Que
tous
les esprits libres qui voudraient s’associer à l’action international