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xposé. De mon temps, les gens bien voyageaient en
troisième
, les gens chics parfois en seconde, et je ne savais rien des première
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commun. Presque toujours elles étaient vides. En
troisième
, on retrouvait, comme je l’ai dit, les gens bien, gracieusement mêlés
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a bonne conduite. » L’aspect d’un wagon suisse de
troisième
classe, tant il respire naturellement l’honnêteté, tendrait à nous fa
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nos corruptions. Donc les Suisses que je vois en
troisième
classe offrent l’image de l’homme sûr de son monde. D’où vient alors
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cette classe n’est pas curieux, comme les gens de
troisième
, des menus incidents du trajet. On sent bien qu’il a l’habitude. On d
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ment parce qu’il n’y avait plus de place dans les
troisièmes
: ils ont l’air trop contents d’être là, on les refoule. J’ai cru rem
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e des esprits libres. Je me décide à regagner les
troisièmes
. Mais il faut traverser un couloir de premières. Et je m’arrête, fasc