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esprits, et surtout pour leur imposer un angle de
vision
déterminé — c’est tout le secret du commandement — leur sont connues
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ou platitudes intermédiaires. Elle est un acte de
vision
. Nous montrant d’un seul coup, sans transition, plusieurs objets que
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proches ou confondues, son auteur. (Cet angle de
vision
étant son vrai « message ».) Elle propose donc à l’imagination un exe
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leurs concepts ; sans conclusion. Mais l’angle de
vision
s’est imposé. Et l’imagination, irrésistiblement, s’oriente vers le m
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s, dans une espèce d’espéranto totalitaire… Cette
vision
pessimiste de notre sort repose sur deux graves confusions. En effet,
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tte convergence : le fédéralisme correspond à une
vision
du monde qui est précisément celle que la science moderne a conçue ;
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n se substituant à l’esprit de rivalité, et d’une
vision
européenne dépassant les intérêts locaux tout en les servant. ⁂ L’as