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, entre-deux-guerres. Peu d’écrivains ont si bien
voyagé
, et mieux dit ce qu’ils avaient vu. La plupart se rendaient trop visi
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erra tant de nomades et de vrais émigrés. Les uns
voyagent
vers des climats et des coutumes où l’isolement social, sans être sur
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ais et quelques allemands. Quand je me suis mis à
voyager
pendant mes études — longs séjours en Autriche, en Allemagne, en Ital
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ommodité de l’exposé. De mon temps, les gens bien
voyageaient
en troisième, les gens chics parfois en seconde, et je ne savais rien