1
le. 7. Relevons qu’Avicenne et le mystique soufi
écrivaient
tous les deux dans cette « circonscription intermédiaire entre l’Orie
2
ommune. On me dira qu’il est bien « dangereux » d’
écrire
cela. Je réponds qu’il est plus dangereux de vouloir ignorer Bandung.
3
e, ou senti son climat ? Ou de cette heure où fut
écrite
sa première page, posée sa première touche, noté son premier accord ?
4
00 : les premiers portulans, ou cartes maritimes,
écrit
M. Denys Hay, « constituaient des cartes de l’Europe en tant que tell
5
able ronde, janvier 1957. 15. D’une lettre que m’
écrit
à ce sujet le comte Jean de Pange. La référence se trouve dans Th. Mo
6
e, dans la mesure exacte où M. Berl lui-même peut
écrire
une Histoire de l’Europe. Je suis très loin de qualifier de sophistes
7
ts et les jours de Denis de Rougemont. Il ne peut
écrire
de livres qu’entre onze heures du soir et quatre heures du matin, mai
8
oman, me confia Denis de Rougemont. J’en ai jadis
écrit
un que j’ai retiré de justesse des mains de l’éditeur avant qu’il ne
9
nson dans le goût de ce pays ; mais ils ne purent
écrire
que de petites mélodies qui ne rappelaient rien de leur musique indon
10
e » dégénérant en « psychose collective » ? C’est
écrit
de Potsdam et sous l’œil des barbares. Freud répond de sa Vienne nata
11
rent les armes physiques : « La guerre de demain,
écrit
Freud, par suite du perfectionnement des engins de destruction, équiv
12
e en vain, ne voit rien… Et c’est à lui que Freud
écrit
prophétiquement, à lui parmi tous ses contemporains, à cet homme dont
13
(xiiie au xixe siècle) On se figure, et l’on
écrit
souvent, qu’il a fallu quelque six siècles à la Suisse pour devenir,
14
et des patriciats dépossédés. Dès 1802, Napoléon
écrivait
aux délégués helvétiques qu’il avait convoqués à Paris : « La Suisse
15
out d’abord, — la plus frappante. « La Suisse — a
écrit
l’historien et journaliste William Martin — ressemblait sous le Pacte
16
rs et leur « sacro-sainte souveraineté » (comme l’
écrivait
dès 1829 le vieil historien zurichois Heinrich Zschokke). Politiqueme
17
gens à la baguette, il suffit de les diviser ! »,
écrivait
alors à son gouvernement l’ambassadeur de France. Il n’exagérait pas.
18
le progrès, tout nous le révèle. Les paroles, les
écrits
, les fêtes nationales, les sociétés littéraires et savantes, les vœux
19
ale déclenchée par l’Europe, en 1919, Paul Valéry
écrivait
cette phrase célèbre : Nous autres civilisations, nous savons mainte
20
onstater. Un sociologue français, Roger Caillois,
écrivait
non sans drôlerie à propos de la célèbre phrase de Valéry : « Si les
21
mand dont le père était devenu protestant, et qui
écrivait
en Angleterre pour le New York Herald Tribune ! Le marxisme est né en
22
ine, que cette prédiction se réalise. Voici ce qu’
écrit
le quotidien de la jeunesse de Pékin, le 27 septembre 1958 : À l’aub
23
le fondement des diverses chrétientés nationales
écrivait
-il en 1843, dans un ouvrage publié à Bruxelles : De la primauté moral
24
anthropes ou d’une mutuelle des égoïstes. On peut
écrire
de telles choses, non les faire. Dans le même temps, le diplomate et
25
que : « Chaque génération est immédiate à Dieu »,
écrit
-il en une formule célèbre. Une nation ou une société, selon lui, ne c
26
2 sur le thème : « Qu’est-ce qu’une nation ? » il
écrit
: Une nation, c’est pour nous une âme, un esprit, une famille spirit
27
ertains partis, que les limites d’une nation sont
écrites
sur la carte et que cette nation a le droit de s’adjuger ce qui est n
28
ondiale34 : Personne n’a le courage de dire ou d’
écrire
que l’état de paix en Europe est un état anormal. Pourquoi l’Europe e
29
de demain ? Au xviie siècle déjà, Amos Comenius
écrivait
: « Nous autres Européens, nous sommes comparables à des passagers em
30
t tout un livre, et il se trouve que je l’ai déjà
écrit
. Je me bornerai donc à rappeler, mais avec la plus vive insistance, q
31
de demain ? Au xviie siècle déjà, Amos Comenius
écrivait
: « Nous autres Européens, nous sommes comparables à des passagers em
33
u « grand homme » en Suisse, en vertu de lois non
écrites
, mais très anciennes, le condamne à demeurer à peu près invisible. Co
34
Lucien Febvre, admirable historien de la culture,
écrivait
à propos de la Suisse : Pays de gens moyens, oui. Mais quand ils réu
35
te, Euler pensait que ses livres de science pure,
écrits
en latin, ne servaient pas assez directement l’humanité. En marge de
36
faites par l’homme et ne feront rien sans lui. J’
écrivais
au lendemain d’Hiroshima : La bombe n’est pas dangereuse du tout. C
37
des livres, à écouter des disques, mais d’abord à
écrire
des livres, à composer de la musique, à méditer, à inventer et à crée
38
d’une opération au cerveau. Fallait-il vraiment,
écrivait
-il alors, être « nettoyé » par cette maladie mortelle, en vue d’un «
39
’atteignaient pas, quoique l’empêchant, hélas ! d’
écrire
son œuvre. Il avait été Roi dans une autre existence, il le savait ab
40
d’une opération au cerveau. Fallait-il vraiment,
écrivait
-il alors, être « nettoyé » par cette maladie mortelle, en vue d’un «
41
auprès de la reine de Navarre, puis à Bâle, où il
écrit
L’Institution chrétienne qu’il publie en 1536. Après un séjour à Ferr
42
ossuet lui concède « la gloire d’avoir aussi bien
écrit
qu’homme de son siècle », mais ce n’était pas pour faire de la littér
43
et diriger les hommes à leur fin de salut. Il n’a
écrit
que pour mieux faire comprendre l’Écriture, parlé que pour mieux fair
44
premièrement illustrées dans notre langue par ses
écrits
: fait d’histoire mais non pas de présence continuée. Ce qu’on entend
45
qui m’importe ici, c’est l’efficacité d’une œuvre
écrite
et pensée tout entière dans la soumission absolue à une cause qui tra
46
ois, — « dans des veilles mémorables, célestes »,
écrira
l’humaniste Ramus — l’un des rares livres qui aient changé le cours d
47
r le carré de la vitesse de la lumière, et cela s’
écrit
: E = mc2 En désignant l’Europe par E, la petite masse physique de n
48
plus. Je suis resté immobile un long moment. J’ai
écrit
deux pages sur la confrontation d’Hitler et de Paris, les ai recopiée
49
l. — Ici colonel Masson. C’est bien vous qui avez
écrit
l’article paru ce matin dans la Gazette ? — Oui, mon colonel. — Avez
50
heures d’essais peu convaincants — on ne peut pas
écrire
en groupe — ils me confient la rédaction. Ma position est un peu déli
51
ourquoi il dut être un complot. Le général Guisan
écrit
dans son rapport que leur seule faute fut « d’agir en secret ». Mais
52
ait incorporé à l’état-major général — pour avoir
écrit
, au lendemain de la chute de Paris, un papier à la gloire de la capit
53
ais celles qui adaptent la technique à l’homme. J’
écris
ceci pour amuser les lecteurs de 1980, s’ils retrouvent par hasard mo
54
m : le café. C’est là qu’elle se parle d’abord, s’
écrit
bien souvent et se lit. C’est dans les cafés de Hollande que se réuni