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e de nos journées. Encore un peu, et les cerveaux
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dicteront nos pensées par radio. Adieu Nature, flânerie, méditation s
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ui est dangereuse, c’est l’homme. Et les cerveaux
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(par métaphore) ne font rien qu’on ne leur ait prescrit. Qu’ils trava
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’homme par les machines, les robots, les cerveaux
électroniques
. Que faut-il donc penser de cette longue plainte qui fut mise à la mo
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un danger subsiste. L’ère de l’automation et de l’
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exige la formation scientifique très poussée non seulement d’une peti
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sard, la machine à calculer, ancêtre des cerveaux
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, c’est Pascal qui les inventa ; et la turbine c’est Léonard Euler, ma