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n ? Faut-il penser que les pouvoirs du mythe sont
épuisés
et que nous serons peut-être les derniers à subir son « tourment déli
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rs de la légende primitive ? Mais si le mythe est
épuisé
, et s’il était vraiment un mythe de l’âme, faut-il conclure que c’est
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onction émotive, dans l’homme contemporain, qui s’
épuise
et qui s’atrophie, entre le corps et l’intellect seuls cultivés par n