1 Je le vois, il y a des hommes si engagés dans les affaires européennes qu’ils oublient les motifs mêmes de leur engagement. Tels

2 re que la France paraît seule en cause dans cette affaire , car en réalité le problème est mondial, il concerne tout l’Occident,

3 résultent aujourd’hui de l’État, des Partis, des Affaires , et parfois des Églises — et non pas de leur complicité, mais plutôt

4 érale n’était qu’un bureau chargé de préparer les affaires , et changeait de résidence tous les deux ans.) Les pressions étrangèr

5 pe. Malgré l’humiliant démenti que lui infligea l’ affaire de Suez, l’illusion de la « souveraineté nationale » persiste. Elle r

6 erre, au hasard de la colonisation, de contacts d’ affaires privés, ou d’échanges culturels sporadiques, incroyablement inorganis

7 erre, au hasard de la colonisation, de contacts d’ affaires privés ou d’échanges culturels sporadiques, incroyablement inorganisé

8 mboles. Mais la sécurité n’est que la moitié de l’ affaire  : l’aventure personnelle, la nouveauté, l’inquiétude, une certaine ré

9 mboles. Mais la sécurité n’est que la moitié de l’ affaire  : l’aventure personnelle, la nouveauté, l’inquiétude, une certaine ré

10 erre, au hasard de la colonisation, de contacts d’ affaires privés, ou d’échanges culturels sporadiques, incroyablement inorganis

11 politiques ou religieux, négociateurs de grandes affaires publiques, théologiens et pédagogues, nous les voyons tous assumer de

12 u sérieux nos principes et nos valeurs, c’est une affaire d’éducation. Contrairement à l’Asie et à l’URSS, l’Europe a toujours

13 notamment sur la fameuse « ligue des officiers », affaire dont M. Kurz, de son côté, souhaite qu’elle soit un jour élucidée. Je

14 ôt demandée, et accordée. Trop compromis depuis l’ affaire de la Gazette de Lausanne et bridé par mes fonctions militaires, je