1
es. Cet équilibre dynamique, toujours risqué, cet
art
empirique et subtil de louvoyer entre le Charybde du particularisme é
2
ope, depuis un demi-siècle, dans les lettres, les
arts
et la philosophie, sait qu’il faut être subversif ou pessimiste, ou l
3
ement la morale dite bourgeoise ou les règles des
arts
, soit qu’ils opposent à l’anarchie flagrante des esprits quelque orth
4
composé à la fois de fonctionnaires français des
Arts
et Lettres (anciens ministres des Beaux-Arts directeurs, etc.), de mi
5
. Nos machines et nos raisonnements, nos formes d’
art
et de gouvernement transportent au loin des champs de force qui vont
6
t aujourd’hui nos sciences et nos techniques, nos
arts
et notre hygiène, nos formes politiques, et plus souvent, hélas ! que
7
s s’appellent en politique l’État totalitaire, en
art
l’ennui, en biologie la mort. C’est assez dire que l’union fédérale,
8
n, sa philosophie, sa morale, son économie et ses
arts
. On a beau citer le Moyen Âge comme une période bénie d’unité des esp
9
u passé, leçons qu’on en tire, renouvellement des
arts
, sujets de romans et de pièces de théâtre, arsenal de citations pour
10
ltures et des civilisations, des religions et des
arts
, des morales et des gouvernements et cette sociologie totale, ou plan
11
, son parlementarisme, ses syndicats, et tous ses
arts
et sa philosophie en tant qu’activités profanes, et tous leurs procéd
12
civilisation : — la première est le fédéralisme,
art
et science de l’union dans la diversité, donc art et science œcuméniq
13
art et science de l’union dans la diversité, donc
art
et science œcuméniques, universels par excellence ; — et la seconde,
14
sa religion, sa philosophie, son économie et ses
arts
. On a beau citer le Moyen Âge comme une période bénie d’unité des esp
15
u passé, leçons qu’on en tire, renouvellement des
arts
, sujets de romans et de pièces de théâtre, arsenal de citations pour
16
ltures et des civilisations, des religions et des
arts
, des morales et des gouvernements ; et cette sociologie totale, ou pl
17
les, son parlementarisme, ses syndicats, tous ses
arts
et sa philosophie en tant qu’activité profanes, et tous leurs procédé
18
ns spécialisées et séparées jusqu’à l’absurde — l’
art
et la vie quotidienne, le travail et la réflexion, la spéculation pur
19
tre : contacts d’une part entre représentants des
arts
, des sciences et de la sociologie, contacts d’autre part entre les re
20
ns spécialisées et séparées jusqu’à l’absurde — l’
art
et la vie quotidienne, le travail et la réflexion, la spéculation pur
21
tre : contacts d’une part entre représentants des
arts
, des sciences et de la sociologie, contacts d’autre part entre les re
22
sa religion, sa philosophie, son économie et ses
arts
. On a beau citer le Moyen Âge comme une période bénie d’unité des esp
23
u passé, leçons qu’on en tire, renouvellement des
arts
, sujets de romans et de pièces de théâtre, arsenal de citations pour
24
ltures et des civilisations, des religions et des
arts
, des morales et des gouvernements, et cette sociologie totale ou plan
25
les, son parlementarisme, ses syndicats, tous ses
arts
et sa philosophie en tant qu’activités profanes, et tous leurs procéd
26
des penseurs engagés, plutôt que des créateurs d’
art
ou de pensée pure. Médecins praticiens, guérisseurs d’âmes, réformate
27
gination : ce sont eux qui créent la culture, les
arts
, les sciences et la littérature. C’est évident. Mais il ne faut pas o
28
h Sous le règne de Victoria les lettres et les
arts
prospèrent, les intellectuels s’humanisent, les grands noms deviennen
29
en passant par la philosophie, les sciences, les
arts
, l’éducation et la morale. L’Europe est très peu de choses plus une c
30
rées. Quittant maintenant le silence du ciel et l’
art
abstrait qu’évoquent si curieusement les photos prises du haut des ai