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l’Occident que dans le récit d’Avicenne, auquel l’
auteur
rattache d’ailleurs son conte, qui est une vision7. Tentons maintenan
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une liste des caractères symboliques que ces deux
auteurs
attribuent à l’Orient et à l’Occident. Ajoutons-y les qualificatifs q
3
raît difficile de le mettre en doute10 : tous les
auteurs
qui traitent de mon sujet s’accordent au moins sur ce point, malgré l
4
uelle école mystique de l’hindouisme appartient l’
auteur
de cette phrase : « Écarte les choses, ô Amant, ta voie est fuite » ?
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de néant s’en dégagent. La réaction de nos deux
auteurs
occidentaux n’est pas moins significative, pour notre objet présent q
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nement réalisé. 2. C’est l’attitude générale des
auteurs
modernes qui se réclament en Occident de la « pensée traditionnelle »
7
cit visionnaire, 2 vol. Téhéran, 1954, et du même
auteur
: Œuvres philosophiques et mystiques de Sohrawardi, tome 1, Téhéran,
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erlöf, un Français et un Allemand lisant ces deux
auteurs
, y prendront à fort peu de choses près le même plaisir, parce qu’ils
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ombe sous les yeux pendant que j’écris14. Bien qu’
auteur
d’une Histoire de l’Europe, M. Berl estime aujourd’hui que l’Europe n
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gnol continuant la chronique d’Isidore de Beja. L’
auteur
y qualifie d’Europenses les vainqueurs de ces grandes journées, et «
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t la création romanesque. C’était sans songer à l’
auteur
de ce Nicolas de Flue dont nous n’avons pas encore eu la représenta
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blic, même s’ils sont édités en librairie ; leurs
auteurs
ne prévoient d’être lus que par leurs étudiants et leurs collègues. E
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». De fait, il a duré jusqu’à nos jours. Mais ses
auteurs
étaient bien loin de se douter qu’ils fondaient un État nouveau, lequ
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initié le Marché commun. Ceux qui reprochent aux
auteurs
du traité de Rome d’avoir voulu « limiter l’Europe à six pays » sont-
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e erreur s’explique en partie par le fait que les
auteurs
que je viens de citer se référaient tous au seul destin du monde gréc
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aire qui s’offre au coin de la rue, et s’unir à l’
Auteur
de sa foi, ayant dit le credo commun, qui se comprend, quand on le sa
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e chance », et est introduit par cette note : « L’
auteur
de L’Amour et l’Occident et de L’Aventure occidentale de l’homme
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Europe [sic], a été particulièrement remarquée. L’
auteur
de L’Aventure spirituelle de l’Occident [sic] a bien voulu en confi
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est-ce qu’un mythe, et qu’est-ce que l’âme ? Tout
auteur
qui se permet ces grands mots doit au public une justification de l’u
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», selon l’expression célèbre de Thomas, l’un des
auteurs
de la légende primitive ? Mais si le mythe est épuisé, et s’il était
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de négocier avec la mort. Et Wagner, le dernier
auteur
de la légende qu’il a su recréer d’après nature, s’inspirant de Gottf
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ecteur de l’Académie, se proposait d’introduire l’
auteur
de L’Amour et l’Occident . Celui-ci, par un fâcheux contretemps, dut
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otif onirique du vol, attesté par des centaines d’
auteurs
depuis trois-mille ans, est de toute évidence antérieur à toute espèc
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interdépendance de la culture et de la technique.
Auteur
d’une vingtaine de volumes — traduits en douze langues — directeur du
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a soumission absolue à une cause qui transcende l’
auteur
. Homme traqué par sa vocation. Son père le destinait à la science de
26
che, n’est pas seulement une erreur de fait que l’
auteur
pourra corriger sans peine. Elle empêche d’évaluer correctement la si
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lons, pour la compréhension de cet article, que l’
auteur
de L’Amour et l’Occident se trouvait alors en situation délicate au