1
rait faire tort à l’homme que de nier leurs liens
avec
certaines options fondamentales qu’il a prises au plan religieux. Au
2
, en revanche, l’ascension de l’Europe se confond
avec
les succès de la lutte permanente contre les castes. La démocratie he
3
urée même de son Moyen Âge, confronté tout vivant
avec
notre âge technique, trahit l’absence des tensions dialectiques qui d
4
’Orient, monde des Formes de lumière, contrastant
avec
l’Occident du monde terrestre et l’Extrême-Occident de la Matière pur
5
e corporisée, ou corps spiritualisé, sans Moi, ou
avec
un Moi qui n’est qu’un simple centre. L’homme magique, le corps magiq
6
ci, c’est l’idée grecque de mesure et, en liaison
avec
elle, l’idée de liberté. Seule l’idée de la mesure de l’homme renferm
7
rnst Jünger12 : La relation que soutient l’homme
avec
le libre arbitre remonte à ses origines. Aussi lui reste-t-elle le pl
8
tique et religieux, qui ne doit pas être confondu
avec
« conservateur », « routinier », « réactionnaire », etc. « Traditionn
9
u l’invention, mais l’identification du chercheur
avec
un Objet que l’on situe au-delà de tout changement possible. 11. Rud
10
t évidente. L’histoire que nous vivons la définit
avec
une précision qui ne pardonne pas : celle du ressentiment, de l’envie
11
ru remarquer que ceux des Européens qui insistent
avec
le plus d’emphase sur la nature universelle de nos problèmes, et part
12
une problématique artificielle, sans nul rapport
avec
le drame qui vient. Au vrai, tout cela n’a de sens que pour les profe
13
ue, Amsterdam. Spengler tient que l’Europe débute
avec
le Saint-Empire romain germanique, mais celui-ci excluait toute l’Esp
14
s vainqueurs de ces grandes journées, et « répète
avec
complaisance ce nom qui indique l’éveil d’un sentiment nouveau15 ». C
15
cupés par les Turcs, et tend ainsi à se confondre
avec
l’Europe géographique, cependant qu’à l’inverse les premiers humanist
16
ar ses trois sources principales, reprise naguère
avec
éclat par Valéry. 6. Mais les nations sont venues se constituer, à pa
17
ce plan-là, nulle réalité créatrice ne se confond
avec
les limites accidentelles et souvent fort récentes d’un de nos États.
18
irs, d’orgueil injustifié et de vrai patriotisme,
avec
le réalisme politique. La patrie n’est pas la nation, elle est en gén
19
e mon nom. Je n’attaquais rien de ce qu’il défend
avec
tant de passion et de juste colère. Je suis très loin de mépriser l’H
20
pe ? était-elle pendant la bataille de Stalingrad
avec
Staline ou avec Hitler ? Et, auparavant, avec ceux qui défendaient ou
21
pendant la bataille de Stalingrad avec Staline ou
avec
Hitler ? Et, auparavant, avec ceux qui défendaient ou avec ceux qui d
22
rad avec Staline ou avec Hitler ? Et, auparavant,
avec
ceux qui défendaient ou avec ceux qui démembraient l’Autriche ? Et à
23
er ? Et, auparavant, avec ceux qui défendaient ou
avec
ceux qui démembraient l’Autriche ? Et à Leipzig, avec Napoléon ou con
24
ceux qui démembraient l’Autriche ? Et à Leipzig,
avec
Napoléon ou contre lui ? Il ne suffit pas d’ignorer quand une personn
25
nière encore plus évidente, soit qu’ils attaquent
avec
acharnement la morale dite bourgeoise ou les règles des arts, soit qu
26
le règne inexorable des machines, et qui conçoit,
avec
cent ans de retard, un pessimisme fataliste et résigné. Dans ce décal
27
, leur succès parmi ceux qu’ils ont « démasqués »
avec
un zèle amer et quelque peu sadique. Ce succès n’est pas dû à la lect
28
t l’intelligentsia à confondre ce rêve d’angoisse
avec
notre avenir historique, à tenir cette logique démente pour l’annonce
29
ux que la pensée occidentale, découvrant le péril
avec
cent ans de retard, ait porté sa colère contre le remède… L’automatis
30
le à ce propos les débuts de Rougemont qui milita
avec
Emmanuel Mounier pour fonder une nouvelle philosophie de la personne
31
un de ces théoriciens et philosophes qui sourient
avec
une pointe de condescendance devant les ouvrages de fiction, devant l
32
a diffusion de nos valeurs n’est pas co-extensive
avec
celle de nos produits et n’en est pas non plus contemporaine ; elle r
33
européennes plus complexes, qui furent éliminées
avec
les anciennes classes, et de valeurs autochtones et populaires systém
34
x, et bientôt à ces Africains, qui nous demandent
avec
anxiété, non point de les laisser comme ils sont, dans leur « sagesse
35
, il concerne tout l’Occident, dans ses relations
avec
le Monde qu’il influence. Théoriquement, deux solutions nettes et rad
36
x résultats prévisibles — soit garante du sérieux
avec
lequel ils ont essayé néanmoins de répondre à notre question. Nous no
37
oup de bonnes choses qu’il vous reste à vouloir —
avec
au moins autant de lucidité que les totalitaires en apportent à voulo
38
russe et américaine d’autre part : car confrontés
avec
le Monde, tous les Européens se découvriront frères, et verront mieux
39
s élites que la confrontation de leurs diversités
avec
d’autres cultures ou civilisations : vue de l’extérieur, l’Europe for
40
ations ne pourront engager le dialogue nécessaire
avec
les autres traditions de culture, que si elles se présentent au nom d
41
proposer les moyens de le prévenir ? On les relit
avec
une sorte d’avidité et d’anxiété rétrospective. L’un se borne à poser
42
ment posées par Einstein, Freud les décontenance
avec
maîtrise en invoquant l’Éros vital et l’instinct de mort, également e
43
ce des temps, et afin de se défendre et maintenir
avec
plus d’efficace », les trois coopératives forestières prirent l’engag
44
treize taxes différentes sur la route du Gothard,
avec
obligation de décharger chaque fois la marchandise pour la peser ». L
45
rative au lieu d’une réunion d’États souverains !
Avec
une position géographique, des mœurs, des antécédents, une langue, qu
46
de la guerre de Sécession américaine) fut suivie
avec
passion par l’opinion européenne, et apporta par son issue un encoura
47
sa l’action des Puissances. La campagne fut menée
avec
décision, rapidité et humanité. En 26 jours, les cantons catholiques,
48
nations et des langues » qu’annonce l’Apocalypse.
Avec
cette source judéo-chrétienne vient confluer la source grecque : l’ho
49
sme est un tragique exemple. Chose étrange, c’est
avec
la fin de l’ère du colonialisme européen que coïncide cette contagion
50
le de la guerre de 1914, les échanges de l’Europe
avec
le monde représentaient 38 % de son commerce. Aujourd’hui, les import
51
Seuls les États-Unis se proposent pour la relève,
avec
les moyens que l’on sait ; mais ils n’y sont pas vitalement contraint
52
era pas dans un esprit d’orgueil occidental, mais
avec
le souci de décrire les idéaux les plus efficaces de notre culture, c
53
étien, Dieu est la Vérité. On ne peut pas tricher
avec
lui, on ne peut pas tricher non plus avec la réalité du monde qu’il a
54
tricher avec lui, on ne peut pas tricher non plus
avec
la réalité du monde qu’il a créé. Dans nos rapports avec Dieu et le m
55
réalité du monde qu’il a créé. Dans nos rapports
avec
Dieu et le monde, nous ne pouvons pas nous satisfaire d’illusions fla
56
iment libre, et de travail. Ici encore, comparons
avec
ce qui se passe ou s’est passé ailleurs. Les cultures totalitaires su
57
e et abstrait, sans relation directe ou immédiate
avec
le salut de la personne, le bonheur, la sagesse, la saveur de la vie,
58
n de la matière, les Européens avaient entrepris,
avec
non moins d’audace, l’exploration de l’espace et du temps. L’espace d
59
qui ont inventé l’histoire et l’historiographie,
avec
tout ce que cela implique : philosophie de l’histoire, enseignement d
60
, déchirantes et fécondes. Le monde entier reçoit
avec
avidité nos machines, nos doctrines, nos remèdes et nos poisons, et b
61
ent la reprise des charges de notre civilisation,
avec
quelques chances de succès ? Il y a pourtant les États-Unis, me dira-
62
leur envie. Un certain degré contrôlé de misère,
avec
de l’avancement et des uniformes, chaque journée commencée et terminé
63
lérienne, en un mot, l’organisme européen a réagi
avec
succès. Notre tâche en Europe, aujourd’hui, est de créer les anticorp
64
rit messianique, etc.) ; son bien se confond donc
avec
le bien de l’humanité, et ses ennemis sont ceux de la paix universell
65
visible de cette dernière. … Plus tard seulement,
avec
l’introduction du droit romain et l’application des concepts romains
66
t actuel des choses. Si toute l’Europe chrétienne
avec
les colonies et les places de commerce qui s’y sont ajoutées dans les
67
eindre bientôt sûrement ce but. Il doit y marcher
avec
méthode, et ne laisser passer aucun moment sans retirer quelque avant
68
e : les voyages des savants. Et ce trait rappelle
avec
une étrange précision les pratiques totalitaires du xxe siècle : Le
69
nt les membres ne vivent qu’entre eux et fort peu
avec
des étrangers, qui acquiert par suite des mesures indiquées sa façon
70
organisation et ses mœurs particulières, qui aime
avec
dévouement la patrie et tout ce qui est de la patrie, l’honneur natio
71
t que pour ces pays, l’idée nationale se confonde
avec
l’idée de Liberté, et s’harmonise avec l’idée d’Europe unie : une nat
72
e confonde avec l’idée de Liberté, et s’harmonise
avec
l’idée d’Europe unie : une nation en devenir n’a pas encore d’intérêt
73
sonne le glas. Car ces efforts se sont conjugués
avec
tant de tendances destructives, que si ces dernières prenaient le des
74
commet une erreur plus grave : on confond la race
avec
la nation, et l’on attribue à des groupes ethnographiques ou plutôt l
75
pas de doctrine plus arbitraire ni plus funeste.
Avec
cela, on justifie toutes les violences. Et, d’abord, sont-ce les mont
76
lourds que nous mettront plus de temps à en finir
avec
ce qui chez nous n’occupe que quelques heures et se passe en quelques
77
rte et aux mains promptes qui règnent aujourd’hui
avec
l’aide du patriotisme, sans soupçonner à quel point leur politique de
78
doxale — j’entends de l’unité dans la diversité —
avec
d’autres formules d’unité qui ont régné sur d’autres cultures, ou que
79
unification contrainte, sont en violent contraste
avec
les réalités et principes caractéristiques de la culture européenne.
80
étien, Dieu est la Vérité. On ne peut pas tricher
avec
Lui, on ne peut pas tricher non plus avec la réalité du monde qu’il a
81
tricher avec Lui, on ne peut pas tricher non plus
avec
la réalité du monde qu’il a créé. Dans nos rapports avec Dieu et le m
82
réalité du monde qu’il a créé. Dans nos rapports
avec
Dieu et le monde, nous ne pouvons pas nous satisfaire d’illusions fla
83
e et abstrait, sans relation directe ou immédiate
avec
le salut de la personne, le bonheur, la sagesse, la saveur de la vie,
84
n de la matière, les Européens avaient entrepris,
avec
non moins d’audace, l’exploration de l’espace et du temps. L’espace d
85
qui ont inventé l’histoire et l’historiographie,
avec
tout ce que cela implique : philosophie de l’histoire, enseignement d
86
crit37. Je me bornerai donc à vous rappeler, mais
avec
la plus vive insistance, que ce n’est pas par hasard que l’Europe a p
87
irantes et fécondes. Ainsi le monde entier reçoit
avec
avidité nos machines, nos poisons doctrinaux, nos secrets de puissanc
88
le soit et prétend au contraire s’identifier soit
avec
l’homme universel, soit avec l’homme d’une seule nation du grand comp
89
re s’identifier soit avec l’homme universel, soit
avec
l’homme d’une seule nation du grand complexe européen, dont il révèle
90
doxale — j’entends de l’unité dans la diversité —
avec
d’autres formules d’unité qui ont régné sur d’autres cultures, ou que
91
e de décrets étatiques, sont en violent contraste
avec
les réalités et principes caractéristiques de la culture européenne.
92
étien, Dieu est la Vérité. On ne peut pas tricher
avec
Lui, on ne peut pas tricher non plus avec la réalité du monde qu’il a
93
tricher avec Lui, on ne peut pas tricher non plus
avec
la réalité du monde qu’il a créé. Dans nos rapports avec Dieu et le m
94
réalité du monde qu’il a créé. Dans nos rapports
avec
Dieu et le monde, nous ne pouvons pas nous satisfaire d’illusions fla
95
e et abstrait, sans relation directe ou immédiate
avec
le salut de la personne, le bonheur, la sagesse, la saveur de la vie,
96
n de la matière, les Européens avaient entrepris,
avec
guère moins d’audace, l’exploration de l’espace et du temps. L’espace
97
qui ont inventé l’histoire et l’historiographie,
avec
tout ce que cela implique : philosophie de l’histoire, enseignement d
98
déjà écrit. Je me bornerai donc à rappeler, mais
avec
la plus vive insistance, que ce n’est pas par hasard que l’Europe a p
99
irantes et fécondes. Ainsi le monde entier reçoit
avec
avidité nos machines, nos poisons doctrinaux, nos secrets de puissanc
100
éterminés. Reprenant maintenant notre comparaison
avec
les étages d’une fusée, nous constaterons que le moment est venu, pou
101
ce succès se trouvera coïncider fort heureusement
avec
le vaste regroupement des institutions européennes, économiques et po
102
moins pédante qu’elle ne paraît à première vue :
avec
la légende de Tristan, c’est l’étymologie de nos passions que ces sav
103
, et même de l’engagement dans un rapport concret
avec
un Autre toujours insuffisant, jamais digne de son image, jamais dign
104
gendaires — le principal étant le mariage d’Iseut
avec
le Roi, père adoptif du héros —, il n’y aurait pas de roman, ni de pa
105
t permettant que la reine convole en justes noces
avec
le chevalier. Et l’on recule épouvanté devant l’idée d’Iseut devenant
106
ait si fort qu’il me donne l’audace de négocier
avec
la mort. Et Wagner, le dernier auteur de la légende qu’il a su recré
107
t la mort terrestre : c’est la rencontre de l’âme
avec
son moi céleste à l’entrée du pont Chinvat. Dans un paysage nimbé de
108
êcher d’imaginer que cette « rencontre aurorale »
avec
le moi céleste en forme d’ange, et femme, figure la conclusion du myt
109
L’homme primitif crée des outils parce qu’il joue
avec
les démons cachés dans le feu ou dans la pierre, dans l’eau courante
110
ntifique ».) Plus tard, l’industrie et la banque,
avec
l’aide de savants économistes, échafaudent sur de telles amusettes le
111
et 1961, p. 5-9. af. Présenté par cette note : «
Avec
la clarté de l’écrivain et sa connaissance des problèmes européens, M
112
péen, M. de Rougemont est entre autres fondateur,
avec
E. Mounier, du mouvement personnaliste, président du comité exécutif
113
vait d’être un jour Suisse, ou Chilien peut-être.
Avec
tout cela, Français de bon langage, d’impeccable ordonnance intellect
114
ctuelle. Il excellait en tout et passait au-delà,
avec
cette « casual brilliance » dont a parlé le Times au lendemain de sa
115
« littéralisme » biblique décidément incompatible
avec
son sens du symbolisme universel. Bach en automne est un poème luthé
116
ctuelle. Il excellait en tout et passait au-delà,
avec
cette « brillante désinvolture » dont a parlé le Times au lendemain d
117
complètes en 59 vol., 1863-1900.) Si l’on admet
avec
un récent manifeste39 que « l’écrivain, dans la mesure où il s’occupe
118
lui a pas fait perdre une seconde. On ne joue pas
avec
les mots quand on est « ministre du Verbe », minister verbi divini. L
119
de retourner à ma première charge… ce que je fis
avec
tristesse, larmes, grande sollicitude et détresse… Maintenant, si je
120
me plus utile outre-mer. Mes premières rencontres
avec
Victoria dataient tout juste de deux ans auparavant. Elles restent li
121
s auparavant. Elles restent liées dans ma mémoire
avec
tout ce que Paris comptait de plus précieux et de plus émouvant sous
122
les rayons obliques d’une fin d’après-midi dorée,
avec
Ortega y Gasset, et nous parlions d’amis communs, venus de partout, q
123
’en assurer de comparer nos budgets de la culture
avec
ceux de l’URSS et des USA, puissances modernes ; et surtout de compar
124
ricaines, qui se chiffre en milliards de dollars,
avec
celle des quelque 300 fondations culturelles existant dans nos pays,
125
is je demanderai que l’on confronte ces évidences
avec
les croyances populaires que je rappelais en débutant, celles qui ins
126
une nouvelle mobilisation générale est ordonnée.
Avec
un de mes camarades, je vais m’annoncer au chef de la police de Berne
127
ion dans le pays, pour la résistance à tout prix,
avec
le Gothard comme symbole et comme grand atout militaire. » Il acquies
128
bsolument rien. Je suppose que vous êtes d’accord
avec
mon article. Là n’est pas la question… La question est de me déférer
129
ne pas sortir dans les rues de Berne chaque soir
avec
une petite femme à chaque bras. — À vos ordres, mon colonel ! J’ai to
130
et corrigé ce texte jusqu’à cinq heures du matin,
avec
les fondateurs, dans une petite salle de café enfumée par les cigares
131
tres quotidiennes, à Berne ou à la campagne, soit
avec
des membres du Directoire de la Ligue, soit avec notre seul homme de
132
avec des membres du Directoire de la Ligue, soit
avec
notre seul homme de liaison entre la Ligue dans l’armée et la Ligue c
133
double entrée, nous permet des contacts discrets
avec
les représentants de la Ligue dans l’armée. La presse a publié le Man
134
s un n’aurait la moindre chance de « s’arranger »
avec
l’occupant hitlérien. Pour les intérêts matériels, c’est différent… L
135
e ad interim du Département politique les a reçus
avec
beaucoup de calme, a pris note de leur déclaration pour la transmettr
136
II (26 juin 1962)ao ap 10 juillet 1940 Réunion
avec
trois officiers de l’E.-M. G. chargés de préparer le message du 1er a
137
ublie le message du général. Convergence parfaite
avec
le rapport du Grütli, que j’ignorais, naturellement, quand j’ai rédig
138
erreur en confondant la ligue civile de juin 1940
avec
ce qu’il appelle tantôt « l’Action nationale de résistance », tantôt
139
est la Ligue du Gothard qui agit seule en liaison
avec
les officiers pendant la crise de l’été 1940. 3. L’absence de toute m
140
stances de l’action de résistance qu’il entreprit
avec
quelques amis groupés sous l’enseigne de la Ligue du Gothard alors qu
141
iation franco-allemande ; de l’alliance de guerre
avec
l’URSS au Mur de Berlin, et de la Libération à la perte des pays de l
142
le monde arabe et en Afrique ; bref, de la misère
avec
les colonies et dans la désunion, à la richesse sans le tiers-monde e
143
ais qu’ils se sont produits beaucoup plus vite et
avec
plus d’intensité que personne n’osait le croire ou le redouter. Somme
144
tlantique ; l’anarchie continuée de nos relations
avec
le tiers-monde, d’où l’affaiblissement général des positions occident
145
t se consolide. Le pronostic se confond désormais
avec
les vœux, les buts, la volonté de ceux qui luttent pour cette union.
146
similation du tiers-monde, après en avoir discuté
avec
les responsables des autres continents. (Cela s’opère sur la base d’u
147
des communes médiévales. Ombre et soleil changent
avec
les heures ; côté de l’église et côté de l’école, côté de la mairie e