1
crifice de nos diversités vivantes ; elle suppose
bien
plutôt la connaissance des raisons d’être de ces diversités. Vouloir
2
a pas d’aspirations mal informées, ni du refus de
bien
voir l’état présent des choses, encore moins du recours à quelque « T
3
u de s’ignorer ou de se combattre, ils le devront
bien
moins à un « retour aux sources » qu’à un progrès conscient et toujou
4
, nonobstant la longue parenthèse du Moyen Âge. À
bien
des égards, en effet, le Moyen Âge a représenté la période « oriental
5
tion physique, ni par suite de le vérifier ; mais
bien
par l’étude patiente des choses particulières, discipline ordonnant l
6
ident, le moi et le non-moi, le oui et le non, le
bien
et le mal, la liberté et le destin, la personne même et son individu
7
on de l’attitude religieuse orientale. Car il est
bien
certain que l’identité qu’elle pose évacue l’existence personnelle, e
8
toire, tout cela m’importe moins que de les avoir
bien
vues, et de suivre à partir d’un contraste assez simple entre deux co
9
ens : il doit y avoir à cela quelque raison. Tout
bien
considéré, je n’en trouve pas de meilleure que cette fameuse communau
10
ur. Les Afro-Asiatiques et les Arabes savent trop
bien
ce qu’elle représente : l’entité qui seule les rassemble dans une hos
11
e ambivalente, mais commune. On me dira qu’il est
bien
« dangereux » d’écrire cela. Je réponds qu’il est plus dangereux de v
12
scientifique à l’Europe qu’il faudrait unir, sont
bien
souvent les mêmes qui, faisant demi-tour, déclarent qu’on ne peut uni
13
aurait donc, à les en croire, pas de différences
bien
notables (dans le domaine de leur spécialité) entre l’Europe et le Co
14
éprime l’élan vers l’union nécessaire, au lieu de
bien
montrer ses fondements légitimes dans l’ancienneté de sa conscience c
15
nation ». Mais l’adjectif européen est d’un usage
bien
plus ancien : il paraît déjà au lendemain de la bataille de Poitiers
16
s reçu ? dit l’Europe aux nations. Elles seraient
bien
en peine de répondre. Spécifiquement européenne ou non, la culture de
17
e en doute l’existence même de la forêt. (Sait-on
bien
où elle s’arrête ? Sait-on quand elle est née ? Et combien d’arbres i
18
ompte en Europe est donc antibourgeois, j’entends
bien
dans le domaine de l’éthique et de l’esprit. Mais rien ne compte en f
19
ils croyaient avoir « découverts », quand c’était
bien
plutôt leur influence qui allait les instaurer dans nos esprits, se v
20
t non plus d’une courbe mythique, d’une Évolution
bien
tracée, ou d’un processus dialectique, dont un Parti qu’on connaît tr
21
ils vont penser pour vous, c’est que vous l’aurez
bien
mérité. L’Apprenti sorcier de la légende déchaînait une force inconnu
22
s bourgeois de ce siècle, ni leurs penseurs, mais
bien
les ouvriers du xixe et les travailleurs à la chaîne dans les usines
23
scepticismes. Ce n’est pas l’accroissement de nos
biens
, ni la solution de nos maux, car toute solution concevable serait la
24
vague, une espèce de rumeur insensée… Il fallait
bien
rappeler ici qu’une réflexion sur nos valeurs occidentales ne saurait
25
l’excès, qu’on en vient à se demander ce que peut
bien
signifier, en fin de compte, l’occidentalisation d’un peuple, d’un Ét
26
ent scientifique. Pourtant, un optimisme européen
bien
tempéré se dégage de leurs études, dont le plan fut arrêté en commun,
27
posent, mais aussi des espoirs autorisés, et dans
bien
des cas, assurés. Étrange Europe, qui a tout pour elle si elle s’unit
28
questions. Et ce paradoxe apparent définit assez
bien
le rôle que doit aujourd’hui s’assigner toute institution culturelle
29
signer (sinon à définir) n’est pas un mal en soi,
bien
au contraire. Cette multiplicité traduit les diversités réelles et or
30
ssources — mais celles-là seules ! — qui semblent
bien
devoir bénéficier d’une intégration plus poussée. À l’heure où les in
31
re culturel (spirituel et sociologique à la fois)
bien
avant d’être politiques. Là encore, l’Europe mise au défi en tant qu’
32
d’aujourd’hui éprouvent en présence de la guerre
bien
autre chose qu’une répugnance morale : « une intolérance constitution
33
mplicité, mais plutôt de leurs dissensions. Quand
bien
même ces puissances pousseraient toutes dans le même sens à l’intérie
34
nie de ce dialogue de deux génies, dont l’un voit
bien
l’avenir, mais ignore qu’il en parle au seul homme qui en détienne le
35
a mission singulière de ce pays. En effet, ce fut
bien
pour assurer la garde du col au nom de l’Empire, contre les entrepris
36
iéter ou molester, en leurs personnes et en leurs
biens
». Et ce pacte devait « s’il plaît à Dieu, durer à perpétuité ». De f
37
mandèrent pas : comment devenir une Nation ? mais
bien
: comment passer d’une alliance d’États (Staatenbund) à un État fédér
38
ser ». Le trafic étranger évitait donc la Suisse.
Bien
plus, un industriel de Saint-Gall avait intérêt à faire passer ses pr
39
on compte, par les États souverains ? (Elle avait
bien
en propre une « caisse de guerre », et le droit de nommer le Général
40
nt irrésistiblement des situations que l’Europe a
bien
connues depuis, aux temps de la Société des Nations, puis au lendemai
41
lite en sa faveur, pas même la raison, d’ailleurs
bien
faible, de l’économie… » Et Rossi concluait en montrant les progrès «
42
rent à le combattre et à refuser les évidences du
bien
commun, au nom des préjugés de la souveraineté. Les cantons catholiqu
43
ent, de moins ancienne tradition nationale… Si, à
bien
des égards, la formation de la Suisse comme État représente une expér
44
pauvrie, encombrée de barrières qui empêchent ses
biens
de circuler, mais qui ne sauraient plus la protéger, notre Europe dés
45
ut l’imaginer que fédérale, si le fédéralisme est
bien
compris comme une méthode d’union dans la diversité. Or cette méthode
46
la peinture : les couleurs chantent si elles sont
bien
opposées dans leur pureté ou leurs nuances précises, non si on les mê
47
nécessité de commencer par la Petite ! — ont-ils
bien
vu le problème dans son cadre mondial, ou défendent-ils plutôt quelqu
48
plus d’un point les grands États-Unis et dépasse
bien
souvent le « colosse » soviétique) n’est au fond qu’une mesure de for
49
ux connu. Il se trouve que l’exemple est mauvais.
Bien
d’autres civilisations ont disparu sans laisser d’héritage actif ; ce
50
ssouffle à rattraper les USA et n’apporte rien de
bien
neuf — beaucoup d’archaïsme au contraire — à l’entreprise universelle
51
ccupons guère que 5 % de sa surface solide, c’est
bien
à la complexité de nos origines que nous le devons, aux conflits spir
52
l’astronomie, les Hindous avaient inventé le zéro
bien
avant nous. Mais l’Europe, ce laboratoire du monde, a poussé les scie
53
i soit effectivement devenue universelle. Certes,
bien
d’autres civilisations avaient cru cela d’elles-mêmes, avant la nôtre
54
t de manières à la former. Par là même — et c’est
bien
son drame en même temps que la condition de son « succès » le plus vi
55
excès. Certes elle est née chez nous, et c’était
bien
chez nous que Burckhardt en avait pressenti les périls. Mais nous n’y
56
ogues. L’union fédérale de l’Europe, et j’entends
bien
: de toutes les forces de l’Europe sociales autant que religieuses, e
57
tat : les communistes militants sont certainement
bien
moins nombreux que les chrétiens pratiquants des trois grandes confes
58
ans le monde et sur sa condition. Ces motifs sont
bien
évidents. Le christianisme est la religion d’un Dieu unique, de l’Amo
59
arée du monde chrétien est un scandale, j’entends
bien
: un scandale spirituel, la preuve d’une infidélité à la vocation mêm
60
êt dernier de leur vie. Le christianisme a bel et
bien
donné au monde, et tout d’abord à l’Occident, cette formule de la com
61
’homme (que les lecteurs de Réalités connaissent
bien
par ses articles sur “La fin du pessimisme” en juin 1957 et “La natur
62
l’évolution du seul concept, au moyen de repères
bien
précis : une série de textes, objets d’époque, dûment signés, témoins
63
ssance militaire, esprit messianique, etc.) ; son
bien
se confond donc avec le bien de l’humanité, et ses ennemis sont ceux
64
ianique, etc.) ; son bien se confond donc avec le
bien
de l’humanité, et ses ennemis sont ceux de la paix universelle ; pour
65
de la paix universelle ; pour leur imposer notre
bien
, toute guerre est sainte, et de plus elle est préventive, car il s’ag
66
ages des premiers s’effectuent pour le plus grand
bien
de l’humanité et de l’État ; loin de les empêcher, le gouvernement de
67
’est finalement à Victor Hugo qu’il appartiendra,
bien
des années plus tard, d’opérer la « transfiguration » des idéaux de 4
68
le faut, au nom des malheureux persécutés, quand
bien
même ce serait aux dépens de nos intérêts actuels. Nous n’en croirons
69
? Au nom de la véritable religion, et pour leur
bien
, les Européens opprimés par une fausse civilisation sont invités à se
70
pas une seule nation. Au contraire, la Suisse, si
bien
faite, puisqu’elle a été faite par l’assentiment de ses différentes p
71
ie, malgré la variété de ses idiomes, est un fait
bien
plus important qu’une similitude de langage souvent obtenue par des v
72
même ton, quelques extraits tirés de Par-delà le
bien
et le mal : Nous autres « bons Européens », nous aussi nous avons de
73
nationale, d’angoisse patriotique, des heures où
bien
d’autres sentiments antiques nous submergent. Des esprits plus lourds
74
e politique d’entracte, — grâce à tout cela, et à
bien
des choses encore qu’on ne peut dire aujourd’hui, on méconnaît ou on
75
e nos jours, nous voyons se dégager deux formules
bien
distinctes. Dans certaines cultures, surtout antiques, l’unité provie
76
, je crois, de ces brèves indications, pour faire
bien
voir que la formule de l’unité traditionnelle, et la formule de l’uni
77
s tout qu’un petit 5 % des terres du Globe, c’est
bien
à la complexité de nos origines culturelles que nous le devons, aux c
78
l’astronomie, les Hindous avaient inventé le zéro
bien
avant nous. Mais l’Europe, ce Laboratoire du Monde, a poussé les scie
79
ant nos yeux, et sur la politique que nous sommes
bien
forcés d’imaginer pour y faire face. Nous devons tout d’abord, nous l
80
répète parfois en sourdine : après tout, que peut
bien
nous faire le sort du monde ? Notre sort personnel, notre salut, le s
81
nt d’abord des apaisements moraux, des certitudes
bien
calculées avant de partir, et une réponse à leurs angoisses privées,
82
e que la nôtre ; et notre devoir aujourd’hui, est
bien
moins de prévoir notre histoire que de la faire, pour l’ensemble du g
83
d’abord lutter contre des dictatures extérieures,
bien
connues et localisées, contre les idéologies qu’elles voulaient impos
84
d’esprit,— et nous l’avons fait. Mais nous voyons
bien
, aujourd’hui, que les menaces contre les libertés ne viennent pas seu
85
sens de la vie (8 juillet 1960)v w Nous voyons
bien
, aujourd’hui, que les menaces contre les libertés ne viennent pas seu
86
Au-delà de la politique : Liberté, Progrès et
Bien
En situant le Congrès comme je viens de le faire, j’ai voulu vous
87
ion n’apportent pas seulement un Progrès, mais un
Bien
. v. Rougemont Denis de, « La liberté et le sens de la vie », Fran
88
de L’Aventure spirituelle de l’Occident [sic] a
bien
voulu en confier la publication en primeur à la France catholique. »
89
pe seulement, jamais ailleurs, qu’il m’est arrivé
bien
souvent d’entendre prononcer la phrase suivante : « Une culture europ
90
e nos jours, nous voyons se dégager deux formules
bien
distinctes. Dans certaines cultures, surtout antiques, l’unité provie
91
, je crois, de ces brèves indications, pour faire
bien
voir que la formule de l’unité, originelle, à base de traditions sacr
92
s tout qu’un petit 5 % des terres du Globe, c’est
bien
à la complexité de nos origines culturelles que nous le devons, aux c
93
l’astronomie, les Hindous avaient inventé le zéro
bien
avant nous. Mais l’Europe, ce Laboratoire du Monde, a poussé les scie
94
ne part de moi-même me dit : après tout, que peut
bien
nous faire le sort du monde ? Notre sort personnel, notre salut, le s
95
nt d’abord des apaisements moraux, des certitudes
bien
calculées avant de partir, et une réponse à leurs angoisses privées,
96
e que la nôtre ; et notre devoir aujourd’hui, est
bien
moins de prévoir notre histoire que de la faire, pour l’ensemble du g
97
, S. A. R. le prince Bernhard des Pays-Bas voulut
bien
accepter la présidence de la Fondation, et il n’a cessé de l’exercer
98
culturels tendant à l’union de l’Europe. C’était
bien
l’objectif initial. L’accord qui vient d’être conclu entre la Fondati
99
texte culturel et historique, ces hommes ont fait
bien
plus qu’une œuvre scientifique, et sérieuse aux yeux des confrères :
100
remontent aux xiie et xiiie siècles, expriment
bien
autre chose qu’un thème romanesque, — fût-il même le thème exemplaire
101
e tienne aux deux, c’est l’évidence, mais qui est
bien
plutôt celle du « cœur » comme on dit —, celle de l’âme. L’âme est en
102
les « droits divins de la passion » qu’inventera
bien
plus tard le romantisme, puis acceptant le divorce et permettant que
103
d’Iseut devenant Madame Tristan ! C’est pourtant
bien
à cela que nous en sommes aujourd’hui, dès lors que le mariage n’est
104
r même ? Si la passion vit de séparations, il est
bien
clair que la séparation la plus irrémédiable est dans la mort, et tou
105
s. On retrouve ici Dante, et Goethe, et peut-être
bien
notre mythe. L’événement majeur, la scène capitale du drame de la per
106
s spirituelles. Le mythe peut nous y aider, c’est
bien
là sa fonction, qui est d’orienter notre vie affective, de lui offrir
107
n’est pas seulement de la littérature qu’ils ont
bien
mérité, mais de l’âme. aa. Rougemont Denis de, « Tristan et Iseut
108
la justifier pour autant. Et tout d’abord il faut
bien
constater que dans la petite phrase incriminée, la plupart de nos com
109
l Barth. Son canton — ou l’Europe. Voilà qui est
bien
dit et bien vu, mais le Français ne fait-il pas trop belle la part de
110
canton — ou l’Europe. Voilà qui est bien dit et
bien
vu, mais le Français ne fait-il pas trop belle la part des Suisses da
111
, avaient construit d’autres voitures automobiles
bien
avant Ford, mais son invention ou sa ré-invention n’en demeure pas mo
112
destin objectif et que nous aurions à subir, mais
bien
au contraire, elle exprime des vœux profonds dont nous sommes respons
113
le, de la technique occidentale. Chose étrange et
bien
remarquable, ce ne sont pas les justes indignations d’un Marx, ni l’a
114
et Bossuet lui concède « la gloire d’avoir aussi
bien
écrit qu’homme de son siècle », mais ce n’était pas pour faire de la
115
lement qu’à grand-peine ai-je pu être en repos un
bien
peu de temps, que toujours je n’eusse à soutenir quelque combat, ou d
116
» l’auditoire, de l’instruire « à salut », de le
bien
« conforter » dans l’amour paternel d’un Dieu-roi formidablement exal
117
ant lui, au pied de la chaire, et dont il connaît
bien
les circonstances concrètes : d’où l’absence de doute et de jeu, de g
118
mais est-il justifié à le faire ? Certes, on peut
bien
soutenir que les États-Unis seraient aussi sévèrement jugés par Calvi
119
’équilibre entre la nation et ses princes, encore
bien
moins entre l’État et le citoyen. Calvin n’était pas démocrate, mais
120
et dans la cité ; et que le titre de citoyen est
bien
moins un droit qu’une charge. Les démocraties d’Occident qui ont refu
121
anète, pour plus de cinq siècles déjà, — et c’est
bien
loin d’être fini ! Selon la plus célèbre équation de notre époque, ce
122
el étant le problème véritable, on voit qu’il est
bien
moins économique que politique, et en fin de compte, culturel. Car c’
123
ts qui se disent « souverains » mais qui seraient
bien
en peine de le prouver ; bref, de montrer que la culture, en Europe,
124
i des évidences, j’en serai content : telle était
bien
mon intention. Mais je demanderai que l’on confronte ces évidences av
125
paraît un peu sentimental, je me demande s’il est
bien
à la mesure du tragique dans lequel nous baignons… L’ai fait lire au
126
lonel M. et aux autres camarades, ils le trouvent
bien
, mais ne paraissent pas spécialement frappés. Cela passera donc sans
127
e l’E.-M. du Général. — Ici colonel Masson. C’est
bien
vous qui avez écrit l’article paru ce matin dans la Gazette ? — Oui,
128
s avons « contactées » ces jours derniers. Secret
bien
gardé jusqu’ici. Ce matin, un officier de l’E.-M. est venu m’avertir
129
n et à l’eau, sans visites ni courrier. Vous avez
bien
compris ? Vous êtes dès maintenant à Saint-Maurice. Tout ce que je vo
130
payées. Je vous remercie. — Repos ! Le colonel a
bien
voulu prendre un verre, au terme de cette petite cérémonie. 22 juin 1
131
as encore compris toute l’ampleur du péril, c’est
bien
le tout de notre vie suisse et non pas tel parti plutôt qu’un autre,
132
par le ministre B.) ⁂ Ces prudences officielles —
bien
typiques de l’époque — n’eurent d’autre effet que de me piquer au jeu
133
— n’eurent d’autre effet que de me piquer au jeu.
Bien
décidé à n’en pas tenir compte, je finis par accepter la proposition
134
enti la Suisse militairement moins forte et moins
bien
alertée. Et notre petit mouvement de résistance, pour préventif qu’il
135
et ne pouvait venir que de l’Amérique. Peut-être
bien
était-ce là-bas qu’il me serait donné, quoique « neutre », de faire l
136
i maintenant. 1. La « ligue des officiers » s’est
bien
constituée aux dates qu’indique M. Kimche (seconde quinzaine de juin)
137
L’Europe seule présente un réseau de communautés
bien
ancrées, bien nettement individuelles et pourtant richement reliées e
138
e présente un réseau de communautés bien ancrées,
bien
nettement individuelles et pourtant richement reliées et régionalemen
139
et il se trouve qu’elle l’est en général — c’est
bien
là qu’elle tire son sens originel. Les partis qui décident de la comp
140
café. C’est là qu’elle se parle d’abord, s’écrit
bien
souvent et se lit. C’est dans les cafés de Hollande que se réunissent
141
ande échelle, allait lui porter le coup de grâce.
Bien
au contraire. Le bon usage et la santé de l’économie technicienne, se