1
e cas particulier, par la théologie orthodoxe des
catholiques
et des protestants européens, qui conçoit Dieu comme le Toi de l’homm
2
sons et Bavarois, Piémontais et Siciliens, pâtres
catholiques
de l’Appenzell et banquiers protestants de Genève, n’ont pas empêché
3
tueux des souverainetés, les conservateurs et les
catholiques
le jugèrent révolutionnaire. La Diète l’enterra en 1833, après l’avoi
4
nom des préjugés de la souveraineté. Les cantons
catholiques
, où le parti conservateur restait le maître, n’hésitèrent pas à concl
5
n, rapidité et humanité. En 26 jours, les cantons
catholiques
, battus séparément, étaient amenés à la reddition. L’étranger n’avait
6
ls contribuèrent à couvrir la dette de guerre des
catholiques
. Et dans l’atmosphère de réconciliation nationale ainsi créée, la Diè
7
ale. Plus qu’une victoire des protestants sur les
catholiques
, la guerre du Sonderbund venait de marquer le triomphe des fédéralist
8
t pour des centralistes unitaires. Leurs ennemis,
catholiques
et conservateurs, se disaient au contraire « fédéralistes », bien qu’
9
de la Restauration, il fut le premier professeur
catholique
à l’Académie de Calvin et l’ornement du Conseil représentatif genevoi
10
yances de ceux de l’Église d’en face. Beaucoup de
catholiques
se figurent que les protestants ne croient pas à la divinité du Chris
11
ucoup de protestants sont convaincus que l’Église
catholique
ignore la Bible, que sa piété se réduit au culte de la Vierge, sa mor
12
tre, que, dans toutes les Églises chrétiennes, la
catholique
et l’orthodoxe, l’anglicane et la luthérienne, et celles qui sont iss
13
peut qualifier selon les temps de protestante ou
catholique
, et sur lesquelles la dogmatique confessionnelle a peu de prise. Un s
14
es orthodoxes, les luthériens, les anglicans, les
catholiques
, elles tendent à devenir indiscernables. J’oserai dire qu’il y a plus
15
. Philosophe, théologien, homme d’État libéral et
catholique
, qui fut mêlé aux conspirations républicaines de 1833, exilé à Paris
16
s de, « La liberté et le sens de la vie », France
catholique
, Paris, juillet 1960, p. 1 et 6. w. Présenté par cette note : « Du 1
17
venel ; Jean de Fabrègues, directeur de la France
catholique
; Jean Duvignaud, du CNRS ; Manès Sperber, etc. La conférence de clôt