1 t avoir cure ni de ses droits distincts, ni de sa chance , ni d’un miroir, donc ni d’une personnalité ni d’un visage. « On peut

2 is qui a tant de peine à s’accepter, à saisir ses chances de grandeur, à guérir de son pessimisme et de ses crampes nationalist

3 ière n’est qu’un appel au monde. Quelles sont les chances actuelles de notre union, en d’autres termes, les chances de l’Europe

4 actuelles de notre union, en d’autres termes, les chances de l’Europe ? Celles de la civilisation, ni plus ni moins. Car, je le

5 se mettre elle-même au défi de les intégrer, ses chances les plus sûres de durer. Ce fait patent, sans précédent, d’une cultur

6 t tâcher d’évaluer les risques angoissants et les chances admirables. La crise de notre civilisation, provoquée par son expansi

7 des charges de notre civilisation, avec quelques chances de succès ? Il y a pourtant les États-Unis, me dira-t-on. Mais ils so

8 araît dans le dossier « Le concile de la dernière chance  », et est introduit par cette note : « L’auteur de L’Amour et l’Occi

9 urs, et dans leurs ambitions. L’Europe n’a pas de chance . Tous ses habitants ne peuvent faire que mauvais voisinage. Quand on

10 t tâcher d’évaluer les risques angoissants et les chances admirables. Je voudrais proposer quelques observations et suggestions

11 té. Mais c’est par la nature et par la qualité de chances ménagées à chacun de courir sa propre aventure et d’affronter le myst

12 t tâcher d’évaluer les risques angoissants et les chances admirables. Pour ma part, je voudrais proposer quelques observations

13 re en matières premières, l’Europe avait moins de chances matérielles que l’Inde de sortir de sa pauvreté primitive. Comment al

14 t radicalement menacé. Pas un n’aurait la moindre chance de « s’arranger » avec l’occupant hitlérien. Pour les intérêts matéri