1 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
1 nscription intermédiaire : « C’est celle que l’on connaît le mieux… » (Il s’agit de notre vie terrestre.) Dans son Récit de l’e
2 ka.) Pour l’Occidental au contraire, il s’agit de connaître Dieu non pas en écartant le monde manifesté, ou bien en se contentant
3 d’en maîtriser le principe. « D’autant plus nous connaissons les choses particulières, d’autant plus nous connaissons Dieu. » (Spi
4 sons les choses particulières, d’autant plus nous connaissons Dieu. » (Spinoza) Ainsi se croisent les doutes, et parfois les méfian
5 sonne sans un Dieu qui interpelle. Et l’Orient ne connaît rien de tel. Soit qu’on pense qu’il n’y a pas de Dieu — selon le syst
6 rient dans notre sphère. En revanche, l’Orient ne connaît pas d’Églises. La Bible et les Vedas n’ont vraiment rien de commun, e
7 a personne dans chaque individu, n’en a pas moins connu les tortures, les bûchers, la guillotine et les massacres (patriotiqu
8 ’habitants, si l’on songe que le nombre des dieux connus du panthéon hindou est estimé à 33 crores, c’est-à-dire 330 millions.
2 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
9 tellectuels l’équivalent du procédé parlementaire connu sous le nom de filibuster. Je n’en citerai qu’un exemple qui me tombe
10 re et simple expression. En effet, selon le thème connu , elle ne se localise guère mieux dans le temps que dans l’espace […]
11 t. La naissance de l’Europe ne nous est pas mieux connue que ses limites. L’Europe ne serait-elle donc pas née du tout, parce
12 certains l’ont finement supposé ? Une cantate peu connue de Beethoven, composée pour le congrès de Vienne, s’intitulait pourta
13 et de la Grèce. Chacun sait la fortune que devait connaître cette définition de l’Europe par ses trois sources principales, repri
3 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
14  : ce seraient ceux, justement, que tout le monde connaît , la liste complète des meilleurs. On pourrait m’objecter Valéry, hédo
15 u d’un processus dialectique, dont un Parti qu’on connaît trop tire les ficelles. Cessons de chercher le sens de l’Histoire, al
16 ’est l’homme. En vérité, les seuls humains que je connaisse qui aient eu le droit de maudire la technique, ce ne sont pas les bou
17 travaux monotones, épuisants ou dangereux. On ne connaît rien au monde de plus inoffensif. En revanche, l’invention du couteau
4 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
18 s lieux communs de chansons européennes qu’ils ne connaissaient pas. Ainsi chaque machine exportée est, en fait, un cheval de Troie.
5 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
19 on22. » Nous verrons également que cette époque a connu toutes les raisons que l’on invoque aujourd’hui au plan européen pour
20 résistiblement des situations que l’Europe a bien connues depuis, aux temps de la Société des Nations, puis au lendemain de la
21 d, dans vingt-deux législatures, dont les unes ne connaissaient pas les motifs qui peuvent agir sur les autres… Ces députés obligés q
22 membres dans le même canton. Un Tribunal fédéral connaît des différends de droit civil entre l’État central et les cantons, co
6 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
23 , s’il a cru qu’il régnait sur le monde : il n’en connaissait qu’un canton. Mais nous ne sommes pas victimes d’une illusion semblab
24 us au seul destin du monde gréco-romain, le mieux connu . Il se trouve que l’exemple est mauvais. Bien d’autres civilisations
25 vales asiatiques, qu’on dit plus raffinées, aient connu pareille fortune. Ce sont les lois de Minos, de Dracon et de Solon, v
26 éricaines ; au surplus, entourées de Barbares mal connus . Les candidats à la relève étaient nombreux. En est-il un seul aujour
7 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
27 ues », et particulièrement sur l’exemple le mieux connu des Européens, celui de la chute de Rome, qui est censée avoir entraî
28 vales asiatiques, qu’on dit plus raffinées, aient connu pareille fortune. Ce sont les lois de Minos, de Dracon et de Solon, v
29 relève d’une civilisation devenue mondiale. Nous connaissons les circonstances de la chute de celles qui nous ont précédés : c’éta
30 ilisations locales, entourées de « Barbares » mal connus . Les candidats à la relève étaient nombreux. En est-il un seul aujour
8 1960, Articles divers (1957-1962). Un péché mortel : la désunion des chrétiens (mars 1960)
31 d’avoir lancé le terme d’engagement). Mais je ne connais pas de problème qui prime aujourd’hui celui-là. Qui est celui du sens
32 dentale de l’homme (que les lecteurs de Réalités connaissent bien par ses articles sur “La fin du pessimisme” en juin 1957 et “La
9 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
33 urée d’une mission européenne de son peuple. Nous connaissons maintenant le processus, illustré par toutes les grandes voix de 48,
34 e une sorte de faculté limitante à priori ? Je ne connais pas de doctrine plus arbitraire ni plus funeste. Avec cela, on justif
35 on, européenne, probablement, les remplacera. On connaît la célèbre prophétie du grand Jacob Burckhardt, historien bâlois, sur
10 1960, Articles divers (1957-1962). Allocution de Denis de Rougemont, président du Congrès pour la liberté de la culture, à la séance de clôture de la rencontre de Berlin (extraits) (juin-juillet 1960)
36 rd lutter contre des dictatures extérieures, bien connues et localisées, contre les idéologies qu’elles voulaient imposer, et c
11 1960, Articles divers (1957-1962). Une fusée à trois étages : bref historique de la Fondation (octobre 1960)
37 aque année un grand congrès destiné à faire mieux connaître ses buts et à recueillir des fonds plus importants d’un plus grand no
12 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
38 poursuivant l’image aimée d’une Béatrice à peine connue dans sa réalité terrestre. Ce que le mythe de Tristan élève ainsi dev
13 1961, Articles divers (1957-1962). Nos meilleurs esprits (1961)
39 il vient chez nous et cite l’un des Suisses qu’il connaît par sa réputation mondiale, pas une personne sur mille, prise dans la
40 t sociétés. Mais petits groupes de gens qui ne se connaissent que trop, et sociétés solides si leur but est restreint. Si bien que
14 1961, Articles divers (1957-1962). Culture et technique (juillet 1961)
41 i en citant trois faits qui ont l’avantage d’être connus de tous. Fait n° 1. Pour la première fois dans l’histoire, une civil
15 1961, Articles divers (1957-1962). Le Temps de la louange (été 1961)
42 en automne est un poème luthérien, le seul que je connaisse en français. Luthérien par sa piété heureuse et nostalgique, par son
16 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
43 avais toujours ce but de vivre en privé sans être connu , Dieu m’a tellement promené et fait tournoyer par divers changements
44 ville en ville arrive à Bâle, pour y vivre caché, connu de peu de gens. Mais les nouvelles de France, où l’on brûle ses amis
45 blée devant lui, au pied de la chaire, et dont il connaît bien les circonstances concrètes : d’où l’absence de doute et de jeu,
17 1962, Articles divers (1957-1962). Le règne de Victoria (1962)
46 ’ai découvert son patriotisme foncier. Je l’avais connue cosmopolite et parisienne, au sens noble que définit la seule Société
18 1962, Articles divers (1957-1962). La culture et l’union de l’Europe (avril 1962)
47 notre culture occidentale, et d’abord à les mieux connaître . Que servirait de doter l’Europe d’institutions communes même techniq
19 1962, Articles divers (1957-1962). Journal d’un témoin (23-24 juin 1962)
48 certains aspects souterrains — ou simplement peu connus — de notre histoire pendant le dernier conflit mondial. Dans cet ouvr
20 1962, Articles divers (1957-1962). La conjuration des officiers en juin 1940 : Journal d’un témoin III (26 juin 1962)
49 re que le Général mît fin à leurs activités qu’il connaissait ou pressentait sans aucun doute : certains d’entre eux dînaient régul