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nscription intermédiaire : « C’est celle que l’on
connaît
le mieux… » (Il s’agit de notre vie terrestre.) Dans son Récit de l’e
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ka.) Pour l’Occidental au contraire, il s’agit de
connaître
Dieu non pas en écartant le monde manifesté, ou bien en se contentant
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d’en maîtriser le principe. « D’autant plus nous
connaissons
les choses particulières, d’autant plus nous connaissons Dieu. » (Spi
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sons les choses particulières, d’autant plus nous
connaissons
Dieu. » (Spinoza) Ainsi se croisent les doutes, et parfois les méfian
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sonne sans un Dieu qui interpelle. Et l’Orient ne
connaît
rien de tel. Soit qu’on pense qu’il n’y a pas de Dieu — selon le syst
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rient dans notre sphère. En revanche, l’Orient ne
connaît
pas d’Églises. La Bible et les Vedas n’ont vraiment rien de commun, e
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a personne dans chaque individu, n’en a pas moins
connu
les tortures, les bûchers, la guillotine et les massacres (patriotiqu
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’habitants, si l’on songe que le nombre des dieux
connus
du panthéon hindou est estimé à 33 crores, c’est-à-dire 330 millions.
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tellectuels l’équivalent du procédé parlementaire
connu
sous le nom de filibuster. Je n’en citerai qu’un exemple qui me tombe
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re et simple expression. En effet, selon le thème
connu
, elle ne se localise guère mieux dans le temps que dans l’espace […]
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t. La naissance de l’Europe ne nous est pas mieux
connue
que ses limites. L’Europe ne serait-elle donc pas née du tout, parce
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certains l’ont finement supposé ? Une cantate peu
connue
de Beethoven, composée pour le congrès de Vienne, s’intitulait pourta
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et de la Grèce. Chacun sait la fortune que devait
connaître
cette définition de l’Europe par ses trois sources principales, repri
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: ce seraient ceux, justement, que tout le monde
connaît
, la liste complète des meilleurs. On pourrait m’objecter Valéry, hédo
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u d’un processus dialectique, dont un Parti qu’on
connaît
trop tire les ficelles. Cessons de chercher le sens de l’Histoire, al
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’est l’homme. En vérité, les seuls humains que je
connaisse
qui aient eu le droit de maudire la technique, ce ne sont pas les bou
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travaux monotones, épuisants ou dangereux. On ne
connaît
rien au monde de plus inoffensif. En revanche, l’invention du couteau
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s lieux communs de chansons européennes qu’ils ne
connaissaient
pas. Ainsi chaque machine exportée est, en fait, un cheval de Troie.
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on22. » Nous verrons également que cette époque a
connu
toutes les raisons que l’on invoque aujourd’hui au plan européen pour
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résistiblement des situations que l’Europe a bien
connues
depuis, aux temps de la Société des Nations, puis au lendemain de la
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d, dans vingt-deux législatures, dont les unes ne
connaissaient
pas les motifs qui peuvent agir sur les autres… Ces députés obligés q
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membres dans le même canton. Un Tribunal fédéral
connaît
des différends de droit civil entre l’État central et les cantons, co
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, s’il a cru qu’il régnait sur le monde : il n’en
connaissait
qu’un canton. Mais nous ne sommes pas victimes d’une illusion semblab
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us au seul destin du monde gréco-romain, le mieux
connu
. Il se trouve que l’exemple est mauvais. Bien d’autres civilisations
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vales asiatiques, qu’on dit plus raffinées, aient
connu
pareille fortune. Ce sont les lois de Minos, de Dracon et de Solon, v
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éricaines ; au surplus, entourées de Barbares mal
connus
. Les candidats à la relève étaient nombreux. En est-il un seul aujour
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ues », et particulièrement sur l’exemple le mieux
connu
des Européens, celui de la chute de Rome, qui est censée avoir entraî
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vales asiatiques, qu’on dit plus raffinées, aient
connu
pareille fortune. Ce sont les lois de Minos, de Dracon et de Solon, v
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relève d’une civilisation devenue mondiale. Nous
connaissons
les circonstances de la chute de celles qui nous ont précédés : c’éta
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ilisations locales, entourées de « Barbares » mal
connus
. Les candidats à la relève étaient nombreux. En est-il un seul aujour
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d’avoir lancé le terme d’engagement). Mais je ne
connais
pas de problème qui prime aujourd’hui celui-là. Qui est celui du sens
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dentale de l’homme (que les lecteurs de Réalités
connaissent
bien par ses articles sur “La fin du pessimisme” en juin 1957 et “La
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urée d’une mission européenne de son peuple. Nous
connaissons
maintenant le processus, illustré par toutes les grandes voix de 48,
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e une sorte de faculté limitante à priori ? Je ne
connais
pas de doctrine plus arbitraire ni plus funeste. Avec cela, on justif
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on, européenne, probablement, les remplacera. On
connaît
la célèbre prophétie du grand Jacob Burckhardt, historien bâlois, sur
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rd lutter contre des dictatures extérieures, bien
connues
et localisées, contre les idéologies qu’elles voulaient imposer, et c
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aque année un grand congrès destiné à faire mieux
connaître
ses buts et à recueillir des fonds plus importants d’un plus grand no
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poursuivant l’image aimée d’une Béatrice à peine
connue
dans sa réalité terrestre. Ce que le mythe de Tristan élève ainsi dev
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il vient chez nous et cite l’un des Suisses qu’il
connaît
par sa réputation mondiale, pas une personne sur mille, prise dans la
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t sociétés. Mais petits groupes de gens qui ne se
connaissent
que trop, et sociétés solides si leur but est restreint. Si bien que
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i en citant trois faits qui ont l’avantage d’être
connus
de tous. Fait n° 1. Pour la première fois dans l’histoire, une civil
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en automne est un poème luthérien, le seul que je
connaisse
en français. Luthérien par sa piété heureuse et nostalgique, par son
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avais toujours ce but de vivre en privé sans être
connu
, Dieu m’a tellement promené et fait tournoyer par divers changements
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ville en ville arrive à Bâle, pour y vivre caché,
connu
de peu de gens. Mais les nouvelles de France, où l’on brûle ses amis
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blée devant lui, au pied de la chaire, et dont il
connaît
bien les circonstances concrètes : d’où l’absence de doute et de jeu,
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’ai découvert son patriotisme foncier. Je l’avais
connue
cosmopolite et parisienne, au sens noble que définit la seule Société
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notre culture occidentale, et d’abord à les mieux
connaître
. Que servirait de doter l’Europe d’institutions communes même techniq
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certains aspects souterrains — ou simplement peu
connus
— de notre histoire pendant le dernier conflit mondial. Dans cet ouvr
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re que le Général mît fin à leurs activités qu’il
connaissait
ou pressentait sans aucun doute : certains d’entre eux dînaient régul