1
diversités vivantes ; elle suppose bien plutôt la
connaissance
des raisons d’être de ces diversités. Vouloir les ignorer par gain de
2
me, l’initiation, la sagesse, la régénération, la
connaissance
libérée par l’illumination, la patrie originelle. Occident : le couc
3
ivité désordonnée, la passion, la dégradation, la
connaissance
égarée, et obscurcie par les liens matériels et passionnels, le lieu
4
e de l’homme vers ce qui nie la créature. Foi et
Connaissance
. L’Oriental, tournant le dos au « monde » décide d’atteindre le salut
5
l, détaché, progressivement illuminé : voie de la
connaissance
directe de l’Esprit. L’Occidental, tournant le dos au soleil, en lequ
6
erd en chemin le monde créé, sa raison d’être, la
connaissance
et la maîtrise de ses structures.) Le danger, pour l’Occidental, c’es
7
périence. Pour l’Hindou, il s’agit d’arriver à la
connaissance
du divin non par le « saut de la foi », qui ne procure pas une connai
8
par le « saut de la foi », qui ne procure pas une
connaissance
suffisante, n’ouvre pas une voie vérifiable et qu’on puisse librement
9
e qu’elle fait. « Ô bien-aimé ! si imprégné de la
Connaissance
, si détaché, si versé dans la Loi, et si maître de lui qu’il soit, un
10
attachement » et s’être engagé sur la voie de la
connaissance
divine, « il faut demeurer dans l’action, gardant un esprit égal que