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e ni de paradoxe, parce qu’il n’a ni contraire ni
contradiction
. » Dépourvu de sensibilité au sens du xviiie siècle, de souci morali
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age. « On peut aller jusqu’à prétendre ceci : les
contradictions
représentent si peu dans son existence que rien au monde ne semble mo
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destin, la personne même et son individu sont en
contradiction
, tension ou dissension, et ne cessent de refaire le signe de la Croix
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ctrinaux dont on vient de rappeler la richesse en
contradictions
apparentes. Nos mystiques ne font pas nos mœurs, en Occident. Ils se
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dique, et par suite sans mesure, sans péché, sans
contradiction
ni remords. Elle est divine, et nous sommes criminels. Si le moi n’es