1 e les avoir bien vues, et de suivre à partir d’un contraste assez simple entre deux conceptions de l’homme et de ses fins, celle

2 es différences continentales, mais à exagérer les contrastes locaux. On sauve ainsi l’utopie mondialiste et les réalités nationali

3 mes d’évasion intellectuelle.) 3. L’argument des contrastes séculaires, invoqué sans fatigue contre l’union de l’Europe, n’est qu

4 au plan de l’Europe entière ? On nous dit que les contrastes entre Allemands et Français, Insulaires et Continentaux, Suédois et G

5 ion. 2° Si pittoresques et voyants que soient les contrastes entre Suédois et Grecs, par exemple, il n’en reste pas moins qu’un Su

6 mule de l’unification contrainte, sont en violent contraste avec les réalités et principes caractéristiques de la culture europée

7 nte, à base de décrets étatiques, sont en violent contraste avec les réalités et principes caractéristiques de la culture europée