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ation scientifique et technique, aux dépens de la
culture générale
et de ce que les Français et les Anglo-Saxons nomment encore les huma
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: d’une part, ceux qui sont prêts à sacrifier la
culture générale
aux exigences techniques et qui se nomment les progressistes ; d’autr
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culture. Je pense donc que l’opposition entre la
culture générale
et une éducation spécialisée est le type même du faux problème. Car s
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rces vives de l’invention, par la réduction de la
culture générale
dans l’éducation au profit de la seule formation technique. Dans la p
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’étude, et ne laisse à peu près aucune place à la
culture générale
, réduite aux cours de marxisme-léninisme. Mais le fait est que les Ru
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de la formation de techniciens, aux dépens de la
culture générale
. Le danger qui apparaît ici, c’est celui de stériliser les sources vi
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assise notre puissance technique ; elle se nomme
culture générale
. Les plus grands inventeurs de tous les temps n’ont pas été des techn
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conclusion : Gardons-nous d’opposer technique et
culture générale
dans nos programmes d’éducation scolaire et universitaire. Car cela
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ormer d’urgence aux dépens des humanités et de la
culture générale
. L’URSS a décidé de sacrifier la culture générale, et elle a produit
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culture générale. L’URSS a décidé de sacrifier la
culture générale
, et elle a produit les Spoutniks. Je crains pour elle que ses premier
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e d’insister sur la nécessité absolue d’une vaste
culture générale
et synthétique, englobant la littérature et la métaphysique religieus
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urs scientifiques, il nous faut donc davantage de
culture générale
, et non pas moins, et seulement un peu plus de formation technique pe