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e, occasion de discours permettant de surseoir au
débat
sur l’avenir immédiat de l’Europe, fournit à nos intellectuels l’équi
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ar les premiers conciles, à l’occasion des grands
débats
sur la Trinité, et se lia par la suite indissolublement à la notion d
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éunis deux fois, à six mois de distance, et leurs
débats
ont été chauds. Tout parti pris de militant leur eût paru indigne d’u
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Dès la première réunion, ils décidèrent que leurs
débats
se tiendraient à huis clos, ceci surtout pour accélérer les travaux,
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tout pouvoir central. L’absence de publicité des
débats
et le soin que l’on apporta à ne point passionner les esprits (au len
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s à l’union suisse qui n’ait été repris, dans les
débats
actuels, par les opposants à l’union européenne. On ne manquera pas d
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ération, et donne la formule générale de tous les
débats
qu’y soulèvent les questions politiques, économiques ou culturelles l
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st né en Europe et de l’Europe, au carrefour d’un
débat
séculaire entre la théologie chrétienne et la philosophie des Lumière
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oir si différente de l’idée qu’en donneraient les
débats
sur le dogme entre docteurs de ces mêmes confessions. Et frappé plus