1
eut survivre à l’aube ! Si l’Orient et l’Occident
doivent
un jour converger au lieu de s’ignorer ou de se combattre, ils le dev
2
r au lieu de s’ignorer ou de se combattre, ils le
devront
bien moins à un « retour aux sources » qu’à un progrès conscient et t
3
en Europe, où Platon l’idéalisa, tandis que César
devait
en retrouver des traces en Gaule. Cette identité primitive, peut-être
4
e, trahit l’absence des tensions dialectiques qui
devaient
provoquer la fin du nôtre. À partir de la Renaissance, l’angle de div
5
agie, nous prions et chantons ensemble. » Ici, je
dois
citer Rudolf Kassner, essayiste autrichien de génie. Personne n’a mie
6
solu, dépourvu de toute dualité, dans lequel nous
devons
nous enfoncer éternellement d’un néant à un néant » ? Et à l’inverse,
7
sur le sol rocheux. Puis il demanda au comte s’il
devait
d’un second signe livrer à la mort toute la garde des créneaux ; l’au
8
son sens strict, initiatique et religieux, qui ne
doit
pas être confondu avec « conservateur », « routinier », « réactionnai
9
les Castillans sont vus comme des Européens : il
doit
y avoir à cela quelque raison. Tout bien considéré, je n’en trouve pa
10
ela n’a de sens que pour les professeurs. Ceux-ci
doivent
circonscrire exactement l’objet d’un éventuel enseignement ; s’ils n’
11
e Rome et de la Grèce. Chacun sait la fortune que
devait
connaître cette définition de l’Europe par ses trois sources principa
12
conçues comme on vient de l’indiquer, le rapport
devrait
être analogue au rapport entre forme et contenu. Une politique d’unio
13
mmunauté. J’en conclus que la forme politique que
devrait
revêtir une union authentiquement européenne, ne saurait être que féd
14
l’urgence de rappeler que l’Europe ne peut et ne
doit
pas être regardée comme une entité ni comme une fin, mais comme un mo
15
“œuvre” accablaient et exploitaient ceux qu’elle
devait
secourir. Je ne prônerai l’Europe ni contre la Vérité, ni contre la R
16
gine que son heure est passée, que le Prolétariat
doit
la déposséder, comme elle avait elle-même dépossédé les nobles, qu’il
17
amer et quelque peu sadique. Ce succès n’est pas
dû
à la lecture de leurs œuvres ardues et complexes, mais à l’intention
18
es salons, et c’étaient le Sexe et l’Argent. Tout
devait
avoir l’air de se passer dans le monde comme si ces choses n’existaie
19
tuante est sa prochaine étape. Un Pouvoir fédéral
devrait
en résulter, car tout l’appelle et sa nécessité est inscrite dans les
20
le. Tout retour en arrière étant exclu, le remède
devait
être cherché dans l’automatisme total, libérant l’ouvrier non seuleme
21
du soir et quatre heures du matin, mais ce régime
doit
lui convenir puisqu’il annonce deux importants ouvrages : l’un qui ét
22
l’économie, incroyablement négligée par l’École,
doit
devenir partie intégrante de la culture d’un honnête homme au xxe si
23
ne cautionne plus19. Le seul problème sérieux qui
doit
nous occuper est le suivant : étant donné qu’il faut unir l’Europe po
24
paradoxe apparent définit assez bien le rôle que
doit
aujourd’hui s’assigner toute institution culturelle soucieuse des des
25
ns de l’Europe. D’une part, une telle institution
devra
montrer que l’Europe est d’abord une culture, qu’elle doit à sa cultu
26
rer que l’Europe est d’abord une culture, qu’elle
doit
à sa culture d’avoir dominé le monde, qui retourne aujourd’hui contre
27
, non l’inverse. D’autre part, cette institution
devra
s’efforcer de réduire les résistances invétérées à notre union, les «
28
ités primordiales, à savoir : 1° que l’Europe n’a
dû
sa puissance qu’aux inventions, procédés et systèmes de tous ordres d
29
ces — mais celles-là seules ! — qui semblent bien
devoir
bénéficier d’une intégration plus poussée. À l’heure où les instituti
30
services et leurs assemblées, un effort parallèle
doit
être entrepris dans le domaine de la culture. Coordonner les autonomi
31
e de la culture. Coordonner les autonomies, telle
doit
être à mes yeux la devise, spécifiquement fédéraliste, de cet effort.
32
tive — qui provoquerait l’union du genre humain ?
Devrons
-nous aller dans la Lune pour en éprouver le saisissement, ou plus loi
33
’insistera jamais assez sur le rôle décisif qu’il
devait
jouer dans la formation de la Suisse et dans la détermination de la m
34
leurs personnes et en leurs biens ». Et ce pacte
devait
« s’il plaît à Dieu, durer à perpétuité ». De fait, il a duré jusqu’à
35
es pactes en vigueur dans les communes lombardes,
devait
s’élargir et se compliquer au cours des siècles par l’adhésion ou la
36
ticulières et un sens remarquable de la foi jurée
devaient
rester, pendant toute cette période, le seul gage d’unité (relative)
37
15-1848) La crise ouverte par le Pacte de 1815
devait
se prolonger, sans progrès appréciable, pendant trente-trois ans. Ell
38
e put survivre à de telles conditions, elle ne le
dut
qu’à l’initiative privée et à la haute qualité de sa main-d’œuvre, hé
39
ner. Cette agitation et ces déséquilibres sociaux
devaient
nourrir le mouvement de « Régénération » qui se prononça dès 1830. In
40
nta après quelques mois comportait un commentaire
dû
à la plume du délégué de Genève, Pellegrino Rossi24. Il vaut la peine
41
non de députés des peuples : « Lequel de nous n’a
dû
souvent déplorer la forme actuelle des délibérations fédérales ? Ces
42
cteurs se trouvent dans une situation fausse. Ils
doivent
, pour ainsi dire, servir deux maîtres, être tour à tour les hommes de
43
ouveau Pacte, dans une confédération plus solide,
doit
se trouver le remède aux maux qui affligent la patrie. » Ce « nouveau
44
utifs, judiciaires, administratifs et militaires,
devait
être transformée en un État moderne de forme fédérative. L’éloquence
45
résentants des cantons. La ratification populaire
devait
avoir lieu avant le 1er septembre. Dans la plupart des cantons, le Pa
46
mier Conseil fédéral, inaugurant un régime qui ne
devait
plus être remis en question jusqu’à nos jours. L’essor économique, so
47
iences souvent amères, confirma les droits et les
devoirs
lentement élaborés par les divers régimes des républiques locales, et
48
action tardive, une exception, dont les destinées
devaient
être exceptionnellement heureuses. « La Confédération suisse est le s
49
ique de l’union dans la diversité. Le fédéralisme
doit
donc souligner le thème de l’union quand les diversités tendent à dev
50
ational. L’Europe n’est rien sans le monde : elle
doit
être mondiale, par une nécessité vitale. 4. C’est l’Europe qui représ
51
nt à l’envi. Mais le risque de courts-circuits ne
doit
pas entraîner la suppression des installations électriques, productri
52
non d’une nation reculant un peu ses bornes, que
doit
être considérée l’union partielle des six pays qui ont initié le Marc
53
ion à des sages des cinq continents ; si l’Europe
devait
disparaître, emportée par un cataclysme ou défaite, nation par nation
54
ations, on en venait à penser que chacune d’elles
devait
fatalement décliner et mourir après une période d’apogée, — la nôtre
55
absolu de vérité. D’autre part, le sens critique
devrait
nécessairement s’aiguiser en Europe plus qu’ailleurs, du fait même de
56
personne humaine, c’est-à-dire de l’individu qui
doit
répondre de ses actes à la fois devant Dieu et devant la société, don
57
s cris et non sans haine une aide qui ne leur est
due
qu’au nom de l’amour chrétien, nous avons le droit de leur dire : si
58
bien à la complexité de nos origines que nous le
devons
, aux conflits spirituels, drames et tensions qui devaient nécessairem
59
, aux conflits spirituels, drames et tensions qui
devaient
nécessairement en résulter et qui nous condamnaient à la recherche, à
60
mplètement humains. Ces très hautes civilisations
devaient
donc nécessairement demeurer régionales, et décliner dans les limites
61
êtes tous un en Jésus-Christ »), cette conception
devait
(seule) permettre à ceux qu’elle formerait intimement, de considérer
62
nat, ni le Bushido. On peut le regretter, mais on
doit
le constater. Un sociologue français, Roger Caillois, écrivait non sa
63
vitalité créatrice, c’est en Europe, que ce péril
doit
être conjuré. Car ce qui nous menace de l’extérieur c’est aussi ce qu
64
erminée par un roulement de tambour, voilà ce qui
doit
logiquement se produire. Or ce n’est pas chez nous, en Europe, mais
65
auver son âme. Si tout homme qui se veut chrétien
doit
vouloir l’union des Églises, c’est pour des motifs spirituels command
66
l’organisation et les tentations de la puissance
devaient
faire prévaloir dans l’Église mère, puis dans les Églises séparées, l
67
ation française, parce que c’est de la France que
doit
partir la liberté et le bonheur du monde. Il faut donc protéger par
68
d’égoïsme national sans lequel nous trahirons nos
devoirs
, sans lequel nous stipulerons ici pour ceux qui ne nous ont pas commi
69
élire d’unité universelle nivelée et centralisée,
devait
conduire la Révolution, par une nécessité concrète, à la négation mêm
70
due, par le hasard. … Les citoyens d’un même État
doivent
tous trafiquer entre eux. L’Europe chrétienne formant un tout, le com
71
mant un tout, le commerce des Européens entre eux
devait
être libre. Il est facile de faire l’application à l’état actuel des
72
ent le commerce de toutes les parties entre elles
doit
rester libre, comme il l’était à l’origine. Si elle est au contraire
73
n plusieurs États sous divers gouvernements, elle
doit
être divisée de même en plusieurs États commerciaux complètement ferm
74
ermettant d’atteindre bientôt sûrement ce but. Il
doit
y marcher avec méthode, et ne laisser passer aucun moment sans retire
75
poursuivie. Tous les ans l’importation étrangère
doit
diminuer. D’une année à l’autre le public a moins besoin de ces march
76
lacées par des succédanés dans le pays, puisqu’il
doit
s’en déshabituer entièrement, entraîné d’ailleurs activement à cela p
77
stante hausse des prix. … L’exportation également
doit
diminuer : car suivant le plan, le gouvernement diminue le nombre des
78
e voyager hors de l’État commercial fermé : il ne
doit
pas être permis plus longtemps à une vaine curiosité et à la recherch
79
de l’État ; loin de les empêcher, le gouvernement
devrait
même les encourager et faire voyager aux frais de l’État savants et a
80
est véritablement la création. Le seul lien qui
devra
subsister entre les peuples sera celui de la Science : … Grâce à ell
81
les hommes s’uniront de manière durable et ils le
doivent
, quand pour tout le reste, leur division en peuples divers sera achev
82
ées et des faits, en divergence vertigineuse, qui
devait
nous mener à 1914. Henri Heine épouse au début l’idéologie de Herde
83
rique : Tous les peuples de l’Europe et du monde
devront
traverser cette agonie, pour que la vie surgisse de la mort et pour q
84
ses yeux, l’Italie (« cet Orient de l’Occident »)
devait
jouer pour l’Europe le rôle de nation-guide, sous la haute direction
85
national fortement constitué et qui ne veut rien
devoir
à personne ? À la différence de l’Espagne, qui se replie sur son pass
86
chelet, lui aussi, exalte « l’intime harmonie qui
doit
unir toutes les parties constituantes de l’Europe », parmi lesquelles
87
est venue la division de l’Église, il est donc du
devoir
de ce pays, plus que de tout autre, de recréer la communauté des nati
88
es hautes missions que nous autres Russes sentons
devoir
assumer un jour, c’est la mission de grouper l’humanité en un seul fa
89
rminée par un roulement de tambours, voilà ce qui
doit
logiquement se produire… Il est clair que le monde va vers l’alternat
90
e — j’entends tous nos empires et États actuels —
doivent
nécessairement devenir non viables, économiquement parlant, sous la p
91
omplexité de nos origines culturelles que nous le
devons
, aux conflits spirituels, drames et tensions qui devaient nécessairem
92
, aux conflits spirituels, drames et tensions qui
devaient
nécessairement en résulter, et qui nous condamnaient à la recherche,
93
ssible à vérifier. D’autre part, le sens critique
devait
nécessairement s’aiguiser en Europe plus qu’ailleurs, du fait même de
94
personne humaine, c’est-à-dire de l’individu qui
doit
répondre de ses actes à la fois devant Dieu et devant la société, don
95
t à grands cris de haine une aide qui ne leur est
due
qu’au nom de l’amour chrétien, nous avons le droit de leur dire : si
96
es bien forcés d’imaginer pour y faire face. Nous
devons
tout d’abord, nous les Européens, prendre une conscience à la fois pl
97
mes, ce que nous avons fait, et pourquoi. Et nous
devons
en même temps nous préparer à affronter des synthèses nouvelles, mais
98
lture européenne n’est nullement supprimée, et ne
doit
pas être masquée, par le fait actuel de sa diffusion mondiale. On nou
99
isation née de nos œuvres. Alors, que faire ? que
devons
-nous faire, nous qui sommes aussi les « produits » de la culture euro
100
e, et que l’Europe seule peut le faire, mais elle
doit
d’abord exister. Certains me diront, et une part de moi-même me le ré
101
est sans doute plus grave que la nôtre ; et notre
devoir
aujourd’hui, est bien moins de prévoir notre histoire que de la faire
102
voyez-vous, ce n’est pas quelque chose dont nous
devons
parler, mais quelque chose que nous devons créer, dont nous devons cr
103
t nous devons parler, mais quelque chose que nous
devons
créer, dont nous devons créer les conditions, quelque chose que nous
104
is quelque chose que nous devons créer, dont nous
devons
créer les conditions, quelque chose que nous devons reconquérir chaqu
105
vons créer les conditions, quelque chose que nous
devons
reconquérir chaque jour et sans relâche, sur nous-mêmes tout d’abord,
106
u’intervient la Culture, ou, en tout cas, qu’elle
doit
et peut intervenir. Car la culture, c’est justement l’ensemble des ac
107
ire de l’Inde traditionnelle. C’est pourquoi nous
devons
attacher tant de prix aux contacts que permet un congrès comme le nôt
108
u’intervient la Culture, ou, en tout cas, qu’elle
doit
et peut intervenir. Vous avez lu et entendu depuis longtemps tant de
109
re de l’Inde traditionnelle. C’est pourquoi nous
devons
attacher tant de prix aux contacts que permet un congrès comme le nôt
110
la politique totale et absolutisée. La politique
doit
rester pour nous un moyen dominé par des fins humaines, ces fins que
111
omplexité de nos origines culturelles que nous le
devons
, aux conflits spirituels, drames et tensions qui devaient nécessairem
112
, aux conflits spirituels, drames et tensions qui
devaient
nécessairement en résulter, et qui nous condamnaient à la recherche,
113
ssible à vérifier. D’autre part, le sens critique
devait
nécessairement s’aiguiser en Europe plus qu’ailleurs, du fait même de
114
personne humaine, c’est-à-dire de l’individu qui
doit
répondre de ses actes à la fois devant Dieu et devant la société, don
115
t à grands cris de haine une aide qui ne leur est
due
qu’au nom de l’amour chrétien, nous avons le droit de leur dire : si
116
uré devant nos yeux, et sur la politique que nous
devons
imaginer pour y faire face. Nous devons tout d’abord, nous les Europé
117
que nous devons imaginer pour y faire face. Nous
devons
tout d’abord, nous les Européens, prendre une conscience à la fois pl
118
mes, ce que nous avons fait, et pourquoi. Et nous
devons
en même temps nous préparer à affronter des synthèses nouvelles, mais
119
lture européenne n’est nullement supprimée, et ne
doit
pas être masquée, par le fait actuel de sa diffusion mondiale. On nou
120
isation née de nos œuvres. Alors, que faire ? Que
devons
-nous faire, nous qui sommes aussi les « produits » de la culture euro
121
de, et que l’Europe seule peut le faire. Or, elle
doit
d’abord exister. Mais on me dira, et une part de moi-même me dit : ap
122
est sans doute plus grave que la nôtre ; et notre
devoir
aujourd’hui, est bien moins de prévoir notre histoire que de la faire
123
rang dans le monde pendant des siècles, elle l’a
dû
à sa faculté de créer des valeurs morales, des structures de la socié
124
nsi être réduits au minimum. Ce régime provisoire
devait
permettre à la Fondation d’une part de s’organiser et d’élaborer son
125
-pilotes d’éducation européenne (dont l’exécution
devait
être confiée dès 1956 au CEC) et le second commanda des œuvres nouvel
126
nationaux pour la recherche en commun des fonds,
doit
fournir les moyens nécessaires à la mise en pratique de cette troisiè
127
tions européennes, économiques et politiques, qui
doit
se réaliser d’ici la fin de l’année. z. Rougemont Denis de, « Une
128
e Valéry, mais aussi à jamais adolescent, nous le
devons
tous aux travaux inspirés, et pourtant précis à l’extrême, de quelque
129
l’âme ? Tout auteur qui se permet ces grands mots
doit
au public une justification de l’usage personnel qu’il en fait. Un my
130
use et tragique à la fois. C’est à ce mythe qu’il
doit
, depuis le xiie siècle, et dans nos sociétés occidentales, son pouvo
131
la passion s’en fait. Cette image, étant idéale,
doit
demeurer toujours fuyante, inaccessible. Mais la réalité est lourdeme
132
s du spirituel. Selon les sociologues, la passion
doit
mourir. Je vous dis que je n’en crois rien. Car s’il est vrai que la
133
’Occident . Celui-ci, par un fâcheux contretemps,
dut
renoncer le matin même à gagner Bruxelles, l’avion qui devait l’amene
134
cer le matin même à gagner Bruxelles, l’avion qui
devait
l’amener n’ayant pu quitter Genève à cause du brouillard. C’est donc
135
s et pédagogues, nous les voyons tous assumer des
devoirs
sociaux ou civiques, éducatifs ou spirituels, comme si le fait d’être
136
ors du complexe suisse. C’est à eux que la Suisse
doit
de représenter une plus grande densité de conscience européenne et d’
137
s volumes et toute une vie de recherches. Je vais
devoir
me contenter de vous rappeler quelques exemples très typiques d’inven
138
énie inventèrent un beau jour ces mécaniques, qui
devaient
permettre l’industrie moderne. Si le besoin matériel expliquait les c
139
sommes parvenus au seuil d’une ère nouvelle, qui
doit
et peut, progressivement, nous permettre non plus seulement d’amélior
140
achines, qui semblait inhumain tant que l’ouvrier
devait
y adapter son rythme, devient au contraire libérateur dès qu’il est p
141
ale qui sait bien qu’elle dépend de la technique,
doit
comprendre aussi que la technique dépend de la culture créatrice. Il
142
Centre européen de la culture, à Genève, qu’il ne
devait
quitter qu’un an avant sa mort. Je parlerai de sa personne. ⁂ Il étai
143
françaises, — il semblait toujours que tout cela
devait
le conduire ailleurs, le préparait seulement… Rejoignant enfin sa vra
144
et françaises, il semblait toujours que tout cela
devait
le conduire ailleurs, le préparait seulement… Rejoignant enfin sa vra
145
t ne s’occupe plus que de religion. Il prêche. Il
doit
s’enfuir à Nérac auprès de la reine de Navarre, puis à Bâle, où il éc
146
ant à la pensée directrice : à Dieu seul tout est
dû
et de Lui seul tout vient. La phrase est souvent longue, mais d’une d
147
révolte, refusé aux individus, mais confié comme
devoir
aux groupes constitués quand l’État outrepasse ses fonctions, a proté
148
es grands noms deviennent des prénoms, les titres
doivent
être mérités, la familiarité dénote le respect, et les pédants sont e
149
e n’est pas à ses richesses naturelles qu’elle le
doit
: simple cap de l’Asie (4 % des terres émergées du globe), un peu moi
150
divisions, presque mortelles. De la culture enfin
doit
venir le remède à nos maux, et il est double : réduire les préjugés n
151
s de culture que notre Fondation entend soutenir,
doit
comprendre les deux tâches suivantes : 1° organiser la coopération de
152
es. Au terme de l’intégration européenne, s’il ne
devait
y avoir que dividendes, bombes atomiques, autos et frigidaires, les f
153
i ? — Je ne suis pas officier de carrière. — Vous
deviez
le faire quand même. Vous êtes accusé d’injures à chef d’État étrange
154
de cette démarche dans les archives fédérales. On
devait
s’y attendre. Et personne n’ébruita la chose à l’époque. On comprend
155
Logiquement, si le gouvernement nous croyait, il
devait
nous faire arrêter sur-le-champ. S’il ne nous croyait pas, notre déma
156
urs et de faire peur aux mous. Le Conseil fédéral
devait
donc nous croire et ne pas nous croire à la fois. Finalement, il rési
157
raz de marée nazi ? Le Gothard, pense Rougemont,
devrait
fournir le symbole et la clef d’une résistance à tout prix. Voici la
158
e fois de plus ce voyage aux États-Unis ? Ici, je
dois
revenir un peu en arrière dans mes souvenirs. Dès le mois de mai, le
159
me ceux qui sont indiqués sous les chiffres 1 à 3
devraient
, par conséquent, être évités ». (J’ai conservé la lettre, signée par
160
emier mouvement de résistance, au sens que ce mot
devait
prendre un peu plus tard dans les pays occupés par Hitler. Je suis co
161
sait que le Conseil fédéral, et c’est pourquoi il
dut
être un complot. Le général Guisan écrit dans son rapport que leur se
162
ue, désormais universalisée, a compris qu’elle se
doit
d’inventer les moyens d’humaniser l’usage des ressources matérielles
163
, aujourd’hui, voient un peu mieux vers quoi nous
devons
choisir d’aller. aq. Rougemont Denis de, « Dans vingt ans, une Eur
164
le mot d’ordre d’engagement de l’écrivain dont il
devait
renier plus tard les interprétations qui en furent faites. Envoyé aux
165
e la cité : celui de l’unanimité fondamentale qui
doit
transcender les partis, les ambitions et les doctrines en vogue. La m